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La semaine prochaine, je pars une dizaine de jours pour le Vietnam, à Ho Chi Minh Ville plus précisément, où je suis invité à faire découvrir à des agriculteurs, chercheurs et techniciens agricoles locaux la vie des sol et les BRF lors du colloque « productions agricoles : pour une réconciliation entre durabilité et rentabilité économique ». Je vous propose de vous faire profiter du travail que j’ai réalisé pour préparer ma conférence avec une série d’articles sur les rôles agronomiques de la vie des sols !

Dire que le sol est (ou est censé être) un milieu vivant extrêmement riche vous apparaîtra sans doute comme une évidence, mais sauriez vous expliquer en quoi exactement la vie des sols apporte des avantages agronomiques incontestables et directement profitable pour le jardinier et l’agriculteur ? C’est ce que je vous propose de découvrir ou d’approfondir à travers trois articles à venir. Mais avant cela, je vous met à contribution et vous invite à nous partager ci-dessous votre réponse à cette question, c’est à vous !

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26 Responses to Selon vous, quels sont les rôles agronomiques de la vie des sols ?

  1. Loic dit :

    Allez j’me lance ! 🙂

    J’ai depuis peu decouvert l’interet de favoriser la biodiversité dans le sol par le biais des mycorhizes. C’est a dire l’association entre un champignon et une racine de plante. Cette symbiose permet aux champignons de profiter des sucres de la plantes et a la plante de profiter du reseau de mycelium du champignon pour capter les elements mineraux.
    Alors arretons les bouillis bordelaises qui detruise les champignons !
    Bon c est peut etre un peu extreme : 😉

  2. Marco dit :

    La vie est très complexe, c’est pourquoi l’homme et ses « inventions » ne peuvent devenir à eux seuls les créateurs d’un cycle de vie équilibré des plantes.
    Un sol vivant apporte des éléments physiques scientifiquement indéniables (gestion hautement efficace des nutriments , dynamique de l’eau, symbioses en tous genres, régulation de la température,…).
    Mais un sol vivant, c’est aussi l’apparition de phénomènes non mesurables comme certains flux d’énergie qui vont offrir à tous les êtres vivants qui sont dans et hors du sol la capacité d’utiliser chaque élément de façon optimale et de le recycler. Un sol vivant permet de dépenser le moins d’énergie possible et d’en récupérer le plus possible. Chaque élément doit avoir plusieurs fonctions et chaque fonction doit être remplie par plusieurs éléments. C’est la valeur profonde qui permet d’acquérir enfin la stabilité d’un système.
    Si l’homme prenait enfin conscience de sa bonne place dans la nature, il s’intégrerait au plus près aux cycles de vies et arrêterait de chercher à tout comprendre, ou du moins tout expliquer.
    La nature est complexe mais généreuse. L’intégrer en soi permet de stopper le gaspillage d’énergie et de vivre en paix.

  3. Anne dit :

    pour moi c’est un tout,une vision globale:pour que les innombrables habitants du sol puissent vivre et « jouer »
    sereinement leur rôle,aidons-les en leur apportant la nourriture qui leur est nécessaire,comme dans une forêt;
    ce que j’essaie de faire dans mon jardin,planté de nombreux fruitiers petits et grands,abris pour insectes,nombre fleurs et herbes sauvages,les fruits des branches hautes pour les oiseaux,cultures sur buttes,paillages divers,et la joie de voir arriver plantes ,insectes,et micro-faune du sol
    bien plus variée.Et beaucoup à apprendre encore.Merci pour toutes ces informations très instructives.

  4. Edith dit :

    Bonjour,
    je ne comprends pas pourquoi LE spécialiste des sols vivants me demande à moi, humble profane, d’expliquer ce qu’il explique si bien lui-même…
    et j’en profite pour lui dire merci pour les infos qu’il partage généreusement.
    Edith

  5. alain17 dit :

    Je vous souhaite un bon séjour.
    La rémanence des épandages à la dioxine ne va pas faciliter la restructuration des sols.
    Cordialement.

  6. Dominique dit :

    Bonsoir,
    Dans notre association de jardiniers, nous mettons l’accent sur la vie des sols, sujet qui n’enthousiasme pas les foules alors que cette vie est primordiale.
    A l’aide d’un Terrascope nous montrons aux visiteurs (beaucoup d’enfants), la transformation de la matière organique qui descend dans le sol, les galeries des vers de terre…7 millions d’individus sous notre chaussure qui travaillent inlassablement le sol pour donner de la nourriture aux plantes.
    Nous délivrons 3 messages :
    – couverture du sol (pour nourrir tout ce monde)
    – travail doux pour ne pas perturber toute cette vie
    – et pas de pesticides…
    les enfants comprennent très bien tout ça et les adultes repartent convaincus.
    Bon séjour
    Dominique

  7. Veronique dit :

    Y’en a tellement !
    Même si je ne suis qu’une jardinière qui se passionne pour ce sujet depuis bien longtemps, j’ose à mon tour !
    Une partie consiste à :
    Apporter de l’air aux racines et autres flore & faune du sol,
    Stimuler la vie de l’étage aérobie du sol, donc faciliter les échanges entre tous les éléments vivants & même minéraux, les déchets des uns, nourrissant les autres.
    Permettre ainsi aux vers de terre de réaliser ce mélange unique argilo-humique à la base de la fertilité des sols en leur offrant air & eau, à la base de la vie sur Terre.
    Permettre à l’eau de s’infiltrer dans le sol, permettre aux racines des plantes d’être moins sujettent au stress hydrique, soit en absorbant immédiatement soit plus tard grâce à la réserve en eau du sol.
    Permettre aux racines de s’enfoncer plus profondément dans le sol, peut-être atteindre la roche mère, voire se glisser dans les fentes, bénéficiant des minéraux qui se trouvent à proximité.
    Voilà les grandes bases que j’en connais, qui personnellement me suffisent.
    Je dirais aussi que l’avantage des apports minéraux naturels, c’est leur variété à la base des saveurs des plantes, de leur santé aussi.
    Que plus la biodiversité est importante plus l’équilibre est présent !
    Je fais aussi des analogies avec la santé humaine, nous avons besoin de beaucoup d’eau, d’air, de protéines, de glucides, de lipides, de minéraux, mais s’il nous manque des oligo-éléments, des vitamines ou des enzymes nous tombons malades.
    Savoirs très basiques. Pas de vocabulaire agronomique donc !

  8. Roger dit :

    Le sujet est vaste, je n’ai aucune compétence scientifique mais je vais tenter de participer.
    Le sol depuis sa surface jusqu’à la roche mère forme un ensemble cohérent.Il est habité par une faune d’une extrême diversité qui favorise l’échange physique et chimique des différentes couches de ce sol.
    C’est cette faune,dont la plus connue est les lonbrics qui donne à la terre sa perméabilité aux eaux de pluie pour irriguer la terre mais aussi pour éviter le ruissellement et l’érosion.
    Donc, ne pas utiliser de produits chimiques revient à protéger toute cette faune et conserver un sol poreux et vivant.
    Il y a aussi les bactéries et les champignons qui font vivre le sol mais je laisse le développement de ce chapitre à l’intervenant suivant.

  9. Claude dit :

    On parlait agriculture au Vietnam ce jour dans l’émission d’Arte qui s’appelle GlobalMag. Je crois qu’elle est rediffusée demain matin.

  10. Geoff dit :

    par le fait qu’une bonne biodiversité des sols fait parti de l’équilibre de l’écosystème et permet une bonne décomposition des matières végétales et animales et une meilleure assimilation par les plantes leur apportant une meilleure croissance et une meilleure résistance aux maladies et aux parasites, et en conséquence, une meilleure production ?

  11. alors les bactéries du sol travaillent pour l’agriculteur et le jardinier en remontant des minéraux du sous-sols .Chacun fait son travail du ver de terre à la bactérie.
    Tout est en place . On connait bien les chaines alimentaires pour ce qui est sur le sol et bien en sous sol c’est pareil .Comme un escalier chaque marche est importante . Quand on laisse des matériaux intéressants sur le sol c’est en lien avec le sous-sol et la vie « monte et descends comme un cercle sans fin qui se réalimente « ; c’est l’image qui me vient .voilà avec mes mots simples de non scientifique comment je le ressens.
    bon voyage.

  12. charlotte dit :

    Allé je tente un élément de réponse 😉
    La vie du sol augmente la microporosité et donc l’oxygène disponible ainsi que la capacité du sol à retenir l’eau.
    Bon voyage !

  13. speigna dit :

    La terre riche, en opposition à la terre stérile, vit; C’est-à-dire que chaque petit vers y bâtit ses tunnels, mange, excrète et donc aère et nourrit. On peut le comparer à un labourage en douceur avec apport d’engrais.

  14. Céline dit :

    Bonjour!

    Dans ma vision des choses les principaux intérêts sont que :
    – Le cycle de la vie du sol et de ses habitants, mort comprise, apporte de l’eau, si précieuse à tous.
    – La diversité des micro-organismes apporte de la stabilité au système et empêchera l’un ou l’autre « parasite » de prendre le dessus. en cas de déséquilibre, l’équilibre se rétablira plus facilement.

    Et bon voyage!

  15. Natacha dit :

    Bonjour,Gilles
    C’est l’occasion de m’apperçevoir de ce qu’il me reste des cours d’agro…La vie du sol est pour moi le berceau de la vie, rien que ça!! elle agit en interdépendance avec les végétaux, les animaux(leurs excréments,cadavre),le climat et le sol ,pour créer la couche de terre qui nous nourrit. Elle est à la base de la chaine alimentaire, en trouvant le gîte et le couvert, dans le sol, elle prolifère ; Par décomposition de la MO, elle fournit à son tour les éléments nécessaires au développement des végétaux. Donc si l’agriculteur veille à la bonne santé de ses petits ouvriers,en leur apportant BRF, MO ect il peut être autonome en fertilisants. Le cycle naturel de nutrition est rétablit : Décomposition de la matière carbonnée.

  16. Dany dit :

    Bonjour Gilles,

    ta demande participe aux échanges-Trocs, à l’image de la terre qui grâce au BRF se nourrit et nourrit à son tour.
    depuis 1 an, je découvre les joies du jardinage. j’ai vu pendant toute mon enfance mes parents préparer longuement la terre pour la jardiner. mais que d’efforts pour transformer une matière pourtant tellement naturelle.
    le jour où nous avons acheté notre maison, j’ai pu organiser un jardin. en lisant un magazine, j’ai trouvé l’idée du BFR intéressante et je l’ai réalisé pour tous ces avantages :
    – « un retour aux sources », en s’inspirant de l’humus de la forêt, le jardin respire à un rythme « naturel »,
    – « une source d’énergie » pour les travaux (moindre efforts pour retourner la terre) et pour la qualité de ses fruits (sans apports de produits chimiques),
    – « une énergie renouvelable » la terre est riche de tout ce qu’elle est à savoir vivante !
    le jardin dans ces conditions m’est apparue une vraie source de bonheur. j’insiste sur ce point car, avec deux enfants en bas âge, mon petit moment de détente je l’ai trouvé là !

  17. Dany dit :

    j’espère que ma contribution, peu scientifique, pourra t’inspirer.
    cordialement
    Séverine G

  18. Patrick dit :

    Gille, le concombre bio est devenue toxique,ne peut-on essayer de comprendre içi ce qui nous arrive?
    l’utilisation d’excréments humain depuis longtemps devient-il un poison?
    Les toilettes sèchent , classé Seveso?
    On peut ouvrir un débats sur ce sujet?
    Bonne journée

  19. Didier dit :

    Je vais me faire l’avocat du diable parce que la réponse à la question pertinente, et sans doute un brin malicieuse de Gilles, n’est pas aussi évidente qu’il paraît, si l’on enlève la référence à des « valeurs » ou « choix de vie », appelons cela comme on veut.
    La culture hors sol existe et il est possible d’imaginer que la terre comme support de culture, devienne un jour secondaire.
    Déjà, la question se pose : Pourquoi s’emm.. à désherber, pailler, etc… alors qu’il existe des produits qui font cela à votre place  ou qui évitent de le faire? L’homme a, ou aura un jour, la capacité de modeler et modifier le vivant. Ce que nous voyons au niveau des OGM n’en est qu’un prémisse. Le pire reste peut-être (sans doute?) à venir.
    Si l’on pose la question sur le plan de la productivité et de la rentabilité, à court ou moyen terme, je n’ai pas de réponse à la question de Gilles.
    Je partage vos réponses sur les autres plans. Mais vivons-nous des temps où ces « choses là » ont encore de l’importance, malgré toutes les déclarations et « Grenelles » ?
    J’ajouterai une autre question : En quoi les modes de culture « alternatifs » sont-ils profitables au « consommateur » ? Qui peut manger « bio » si il ne produit lui-même ses légumes . Une famille de Smicard ?
    Le diable va retourner dans sa boîte. En attendant la démonstration de Gilles.
    PS. Je fais une expérience sur mes tomates, des pieds sans taille qui montent sur un grillage et des pieds tuteurés avec tailles.. Et je me posais la question de la taille du concombre, mais je n’ai pas eu le réflexe de faire la même expérience.

  20. armand dit :

    n’ayant qu’une simple approche de la vie et de habitants du sol ainsi qu’une vague idée de la symbiose plante microbe,je vous renvois sur ce lien qui detail et explique bien mieux que je saurais le faire.
    pour ceux qui connaissent pas il sagit d’un interwieux de claude bourguignon:
    http://www.terramater.fr/article.php?arti=15&rubri=1&sous_rubri=22&select=1&PHPSESSID=328b110effc3446582e1b56d38f126ca

  21. Gilles BERNARD dit :

    De mon point de vue, il y a quelque part un hiatus entre notre volonté d’apporter à tout prix de la matière organique au sol et l’incapacité de la plante à assimiler cette matière organique.
    Celle-ci, tout ce qu’elle demande c’est de la matière minérale : hydrogène, oxygène, carbone, 3 resources abondantes qu’elle prélève dans l’air, potasse, phosphore, calcium, magnésium et oligoéléments qu’elle doit prélever dans le sol.
    Ces éléments sont rares, notamment parce que l’essentiel de ces ressources sont stockées sous forme carbonées dans les déchets organiques.
    Pour casser ces chaines carbonnées, il faut un travail considérable, et ce travail est réalisé par les milliers, que dis-je, les millions d’individus de la pédofaune.
    On nous parle de 50 kg de matière vivante pour un jardin de 100m² : je n’ose imaginer cette masse grouillante si elle était réunie en un seul point.
    La question se pose alors du rôle du jardionier dans cette biocénose : simple pourvoyeur de matière organique? Catalyseur des processus naturels par l’apport de savantes mixtures, purins et autres décoctions?
    Personnellement, je me limite à l’apport de matière et à une 2eme mission essentielle : la gestion de l’eau.
    Toujours de mon point de vue, dans cette usine biochimique, plus les animaux sont petits plus ils sont importants : protozoaires, rotifères, nématodes, mycéliums, bactéries jouent ce rôle essentiel de microfaune minéralisante.
    Et ces animaux, à la différentces de leurs cousins plus gros de la mésofaune, voient leurs effectifs évoluer de façon considérable en quelques heures seulement.
    Dans des conditions favorables, une bactérie se multiplie pas scissiparité toutes les 20 minutes, soit plusieurs milliards d’individus à partir d’une seule bactérie au bout de 48h seulement.
    A l’inverse, une simple dégradation des conditions du milieu et ce sont des millairds d’individus qui meurent en quelques heures. Et parmi ces paramètres évlolutifs, bien avant la microaération, le PH ou la température, il y a la disponibilité en eau. Une carence en eau de quelques heures et c’est un désastre écologique à l’échelle de notre jardin : pour 1 m² de jardin, nous compterons les décès de bactéries en milliards, de protozoaires en centaines de millions, et de nématodes en millions, vertigineux non?!
    Dès lors, votre mission si vous l’acceptez sera de gérer l’eau sous toutes ses formes : la pluie dont il nous faut éviter le ruissellement et ralentir le transit vers les nappes fréatiques, l’eau de stockage que nous devons distribuer de la façon la plus intelligente possible, l’eau de rosée dont nous sous-estimons systématiquement l’importance et que nous devons à tout prix capturer par une surface « piégeante » et l’eau des remontées capillaires, la plus riche car chargée en éléments minéraux.
    La gestion de ces remontées capillaires, tout particulièrement dans nos buttes et carrés surélevés qui ont le facheux de défaut de parfois se « couper » du sol mériterait à lui seul un article de fond de Gilles et un partage d’expériences.

  22. kercoz bernard dit :

    Salut Gilles .
    S’il fallait une réponse brève a ta question, il faudrait argumenter sur le fait qu’en terme de moindre entropie , on ne peut faire mieux que ce qu’ à produit le formatage de millions d’années d’essais d’impasses , d’adaptations diverses sur une pédogenèse et une interrelation plante/sol.
    Meme si une action constructiviste (simplifiée) peut momentanément améliorer cetains caractères , il est évident que le modèle originel reste le seul fiable a long terme .
    Le principal argument a avancer en ce moment serait que devant les difficultés a venir relatives a la pénurie d’abondance liée directement a la pénurie d’énergie , les techniques « BRF » sont les seules qui peuvent assurer un approvisionnement peu dépendant de l’energie et des animaux .

  23. Gilles Domenech dit :

    Bravo Didier d’avoir bien compris la sens de ma question! En effet, les trois articles annoncés sont déjà quasiment écrits. Mon but, n’était donc pas de trouver des idées, mais simplement vous amener à vous poser cette question (et à nous faire partager à tous vos réponses)!
    En effet, cultiver Sol Vivant ne doit en aucun cas devenir un dogme comme les milliers d’autres qui lui ont précédé et démontré leurs effets destructeurs. Il est donc essentiel de comprendre ce que nous faisons et surtout pourquoi nous le faisons!
    Bravo et merci à toutes et à tous pour vos réponses et vos partages! L’ensemble de ce que vous avez écrit sera repris dans les trois articles à venir dont je vous dévoile d’ores et déjà les thèmes:
    la transformation des matières organiques
    la structuration du sol
    la gestion des flux de nutriments
    j’espère poster le premier cette semaine en arrivant au Vietnam!

  24. concepcion dit :

    Merci pour tout ,et bon voyage

  25. Chantal dit :

    Bon voyage Gilles. J’attends ces articles avec impatience.

    Et merci à ceux qui ont donné des réponses très instructives.

  26. […] de nutriments aux végétaux, article qui fait suite aux trois premiers postés sur le sujet: selon vous, quels sont les rôles agronomiques de la vie des sols ? rôle agronomique n°1 : la transformation des matières organiques et rôle agronomique n°2 : la […]

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