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Gilles

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44 Responses to

  1. guillo dominique dit :

    bravo pour la conférence avec evelyne Leterme, pour les réponses précises et « vécues ».
    à bientôt pour des échanges de pratiques.
    Je suis à Durfort la Capelette , près de Moissac et je dispose d’un broyeur d’élagueur sur prise de forçe, je peux le préter…si voisins intéressé.

  2. kercoz bernard dit :

    Salut Gilles .
    content d’avoir des nouvelles.
    Bonne production sur ma 4e année BRF. Je développe la technique buttes Lespinasse : 10 buttes a cultures assise.

  3. San Marco Annick dit :

    Bonjour Gilles,

    Très heureuse que tu aies un blog vivant et si utile.
    Cela me permet d’apprendre beaucoup sur la vie du sol pour accompagner un jardinage plus conscient.

    Bonne réussite

    Annick

  4. lacroix dit :

    je regrette de ne pas avoir pu assister à votre conférence, à Montesquieu. Je travaillais en tant que bénévole sur le site. Je mets du BRF au pied de mes fruitiers (sol lourd, argileux) et je constate une nette amélioration de la structure du sol.

  5. Coucou Gillou,
    Je suis toujours ok pour une présentation au groupe …
    A bientôt.

  6. Christophe dit :

    Bonjour

    Voici un blog, plus qu’un blog, un lieu d’échange de savoirs et de pratiques : indispensable.
    Nous sommes maraîchers bio en Corrèze (en cours d’installation sur 2ha), toujours en questionnement sur nos pratiques, sur la mutualisation des savoir-faire et des outils (broyeur, épandeur, andaineur… ).
    Difficile ici, en terre d’élevage, de trouver interlocuteurs et collègues pour mettre ces question au travail, expérimenter, diffuser et surtout faire ensemble… Avis aux amateurs du Pays de Tulle !
    Il y a 2 semaines, la neige nous a bloqué, alors que le rendez-vous de Montesquieu était programmé, mais il y aura d’autres occasions… en Corrèze, qui-sait ?
    Si le travail qui nous attend nous laisse quelques poses, nous tenterons de contribuer aux échanges à partir de nos observations.
    Longue et fructueuse vie à cette belle initiative !
    Carol et Christophe

  7. Jean-Claude LE GOAS dit :

    OK Gilles

  8. Gilles BERNARD dit :

    Convaincu des vertus du BRF, je l’utilise depuis 4 ans, et hostile à toute forme de dogme, je teste plusieurs usages : incorporé au sol, en surface, en mélange avec fumier volailles et caprins, avec algues.
    Je pratique une forme de compostage à plat dans le parcours des animaux à la façon des joncgées pratiquées dans le Massif Central autrefois, avec comme résultat un pur terreau en moins de 6 mois.
    Je travaille environ 100 fagots par an, avec du bois ni trop gros (>4cm = billettes pour le feu,) ni trop petit (le bois reste sur le terrain un moment, et mes chèvres naines et moutons s’en donnent à coeur joie pendant 3 mois)
    Pour le reste, un design assez classique, façon Lespinasse, sans finalité commerciale, avec un équilibre fondé sur une complémentarité entre pêche et agriculture; j’habite au bord de la mer et celle-ci généreuse, nous assure plusieurs repas de bonne protéine animale par semaine.

    • Danièle dit :

      je serais intéressée par votre pratique sur l’utilisation des algues. J’habite à Hergla Tunisie, à 100 m de la mer depuis 5 ans. La terre arable est emportée par les vents. Il reste une terre dure comme pierre ou du sable, car les dunes protectrices de bord de mer ont été volées pour alimenter les hôtels d’El Kantaoui en sable (emporté par la mer, le sol s’enfonce sous la mer…). Bref, à plusieurs reprises, je suis allée chercher des algues, les ai lavées, puis mises en paillis, résultat décevant, car emportées par le vent. J’en ai mélangé au compost, décevant. Mon compost est meilleurs sans algues. Que me conseillez-vous pour utiliser cette manne ? A moins qu’il y ait de mauvaises et de bonnes algues ! Faut-il préférer des algues avec un début de décomposition en bord de mer ou des algues fraiches ? Je n’ai que 600 m2, mais plein de plantes fleurs légumes pelouse mélangés, avec un jardin sur le toit de la maison
      merci d’avance

  9. louzou dit :

    Est-ce que pouvez préciser si les broyats sont bien dégradés par les champignons blancs avant de les incorporer en terre plutôt lourde?
    Car le paillis d’hiver améliore la terre en l’allégeant sans passer par le stade micellium.
    Je suis très intéressée par la terra prieta, cette fameuse couche de terre noire retrouvée parmi des sols rouges ou jaun es d’amérique centrale. peut-on arriver à la même chose en faisant un genre de charbon de bois?

  10. Gilbert Nijimbere dit :

    Bonjour
    Je viens de tomber en contact avec ce groupe:Jardinons sol vivant! et je profite de cette occasion pour demande plus d’informations pour ce qui de la culture des champignons ectomycorhiziens.

    Bien à vous!

  11. safi dit :

    salut
    je m’appelle SAFI, je suis un ingénieur agronome (5eme année), j’espère bien jardiner votre sol vivant

  12. Ute dit :

    Bonjour Gilles
    Je suis une nouvelle jardinière dans les Cévennes après 50 ans de vie minérale en ville. Je viendrais faire régulièrement un tour sur votre site pour y chercher des infos sur la terre et les plantes.
    Cette année, le paysagiste du coin nous a donné un gros tas de végétaux broyés grossièrement, je l’ai pris pour entourer les arbres et aussi en surface dans le potager. Au potager, les graines ont germé, les choux repiqués sont vivants, mais tout ce petit monde est super anémié.
    Est-ce que vous en connaissez la cause? Je n’ai rien enfoui.Bon, je trouverai sans doute la réponse dans vos pages. Merci Gilles et à bientôt.
    Nous faisons partie de l’expérience des incredible edible né en angleterre: http://incredible-edible-valeriscle.fr/
    Ute

  13. Francis dit :

    Bonjour,
    Je n’ai aucunne expérience du jardinage, mais je désirerai y consacrer un peu de mon temps libre.
    J’habite en belgique et le climat est donc assez pluvieux.
    Je voudrais transformer une partie de mon terrain en potager. Actuellement il est couvert de gazon sur un sol argileux. Comment débuter? Y-a-t-il quelque ouvrage intéressant pour bien commencer?
    Merci.

  14. daniel girardon dit :

    bonjour
    je viens de découvrir votre méthode de jardinage qui ma très intéressé,je vais d’abord parfaire cette connaissance en l’étudiant méticuleusement avant de l’appliquer pour mon potager,je pense que la première pensée de tous les jardiniers est: ou trouver autant de matière végétale,lorsque l’on voit le parcours du combattant pour trouver une botte de paille !!!
    merci de nous avoir fait part de votre conaissance
    cordialement
    Daniel

  15. denis dussart dit :

    bonjour moi ,je suis jardinier de metier bien qu ettant en retraite je jardine encore beaucoup actuelement pour les restos du coeur.je ne comprend pas pourquoi il y a tant de gens qui ne mange pas a leur fain , quand on voit se que rapporte un jardin!!!

  16. Bakiri dit :

    Bonjour , Trés content d’avoir découvert votre site , je suis retraité j’ai envie de me consacrer au Jardinage j’ai un terrain et je ne sais pas par ou commencer , c’est dans la région des Oasis exactement Ghardaia y a plein de Palmiers dattiers j’ai peur de me décourager j’ai besoin d’etre conseillé et guidé merci de vos conseils : jardino12@voila.fr

  17. marilou dit :

    bonsoir, je suis étudiante en architecture et en design, je fait mon diplôme sur le thème de l’agriculture urbaine car je suis convaincue que la question alimentaire sur le plan sanitaire et pédagogique est primordiale aujourd’hui.

    Cultiver en ville est un thème de plus en plus présent sur le plan prospectif, et sur le plan effectif du côté des particuliers, Paris dispose d’environ une soixantaine de jardins partagés vivant par leur sols et par la chaleurs humaines qu’ils animent.

    Compte rendu du système actuelle qui laisse peu de place au respect du vivant et à sa diversité, je me suis penché sur des questions d’éthique par rapport à l’appropriation du vivant ( explorant le terrain plus philosophique que pratique ). Suite à l’affaire entre Kokopelli, et la loi sur les semences de fermes, je pensai axer mon projet autour de l’échange de semence et la conservation de graine à l’échelle de structure associative.

    En bonne parigotte, c’est vrai que je ne suis pas souvent les mains dans la terre même si le monde animal et végétal m’a toujours intéressé.
    C’est ces débats éthiques et mon propre train de vie qui me ramènent à l’agriculture. Alors naîvement je me pause des questions pratiques utile a la maturation de mon projet:

    – conservez-vous vos propre semence? comment sélectionner / améliorer ces semences? j’imagine que ce doit être assez technique sur la sélection, il y aurait-il des ouvrages vulgarisant la question?

    ( Sur le plan de la conservation des graines j’ai cru comprendre qu’il fallait les faire sécher ou enfin éviter l’humidité et ainsi les moisissures, qu’il faut les stocker au frais, à l’ombre, et s’assurer de bien connaitre la duré germinative de chacune )

    – En lisant l’arcticle de Wikipédia à propos de kokopelli, je butte sur une phrase:
    « La Cour confirme aussi que les semences de conservation doivent rester soumises à un cadre légal précis pour assurer la conservation de la ressource phytogénétique, cadre que Kokopeli n’a pas respecté. »

    cette « ressource phytogénétique » serait la stabilité d’une lignée? Ainsi Kokopelli ne serait pas rigoureux dans sa sélection? n’arrivant pas a maintenir le caractères homogènes et stabilisés d’une ligné?

    🙂 j’espère que mes questions ne sont pas trop à côté de la plaque, merci d’avance

    je vous souhaite force et fertilité pour cette année!
    bien à vous

    Marilou Lantieri

  18. baigana dit :

    bonjour,je suis très content de découvrir votre site,car je suis africain du centre(Tchad) et chez nous ,on consomme beaucoup des céréales et pour moi j’aimerai me spécialiser en sélection des semences potagères car je suis un étudiant du niveau 5 a l’université Yaoundé 1 au Cameroun en industries des semences option technologies des semences;J’aimerai que vous me partager votre expérience et sur un savoir guide vers un emploi rentable pour lutter contre insécurité’ alimentaire qui sévit
    au TCHAD.

  19. justin dit :

    Bonjour,
    Je suis Belge et j’aimerais faire un jardin sans labour. Pour cela , il me faudrait des cultures d’hiver adaptées au climat ardennais.J’ai vu aussi que l’on pouvait faire des semis de fleurs ou autres mais je ne sais pas qu’elles sont les espèces avec lesquelles ils seraient possible de le faire. Est – il possible d’avoir quelques renseignement ?

  20. marie-louise hibert dit :

    bonjour,
    je m’intéresse depuis peu au jardin bio car je rentre dans une asso qui aide des personne comme moi précaire et ou handicapé j’ai entendu qu’ils avaient des jardins à l’ancien site de azf ils cultivent dans des bac mais ont l’intention de passer bientôt directement à la terre quand on sait se que contenais ses sol il y à 12 ans est-ce qu’il y a des risques? si oui comment la décontaminer et lui redonner la forme qu’elle mérite?

    je suis sur toulouse et si vous teniez des conférences ou des formations dans le coin notamment le gers j’y suis originaire de la-bas mais sachant que je n’ai pas de moyen est-ce que vous faite des prix accessible merci et merci de se site enrichissant

  21. Myriam dit :

    Bonjour,
    Je découvre votre site et suis ravie. Je jardine le plus naturellement possible depuis 5 ans, et suis à la recherche de toutes les méthodes les plus saines. Cet hivers, pour la 1ere fois j’ai bâché mes parcelles avec du fumier dessous. Aujourd’hui je débâche au fur et à mesure de mes besoins et suis contente de trouver une terre sans mauvaises herbes et beaucoup de vers. Je n’ai pas le problème de désherbage des années précédentes. Que pensez vous de ce principe ?

  22. lecoutre dit :

    je ne connais pas et découvre moi aussi votre site , je suis aussi une personne pour la défense de la nature , pourriez vous s v p me donner un conseil pour un désherbant naturel
    merci à bientot

  23. Violaine dit :

    bonsoir,
    vraiment heureuse d’avoir trouvé votre site ! cela fait des semaines que je cherche des infos sur la manière de cultiver un potager qui respecte le plus possible la terre… j’ai visionné des tas de vidéos sur you tube, lu des tas d’articles, ai découvert il y a peu la technique du BRF (j’ai d’ailleurs acheté un broyeur la semaine dernière…) Je suis une néophyte dans ce domaine, venant d’arriver dans le Gers et ayant pour la première fois un terrain pour cela… Je me heurte à l’incompréhension de mes amis qui, en tant qu' »anciens » dans ce domaine, me renvoient de toutes les manières possibles que ce n’est pas comme cela que l’ on fait ! Mon propriétaire m’a donc « préparé » la terre pour que je puisse faire mon potager et me voilà avec un terrain de 150 m2 dont la terre n’avait pas été travaillée depuis au moins 20 ans, sans engrais ni pesticides, mais qui vient d’être retournée etc…
    J’ai la sensation d’avoir laissé faire une bêtise…Pourriez vous m’aider en m’indiquant succintement les grandes lignes à respecter afin que je puisse créer ce potager pour que le sol reste vivant ? Merci d’avance…
    Violaine

  24. Jean-Michel dit :

    Bonjour Gilles,
    Je suis « jardinier » depuis ma retraite voilà 2 ans!! J’ai préféré le bio pour éviter d’avoir à utiliser des produits chimiques et mes seuls engrais sont le compost que je fais, les purins d’orties et de consoudes que je prépare avec mes plantes, du fumier de cheval ou du migon « or brun » composté avec algues que j’achète. Je suis intéressé par le BRF mais je suis dans la banlieue marseillaise et il est très dur de se procurer des jeunes pousses de feuillus dans la région (j’ai essayer d’en demander aux gars qui taillent les platanes dans ma commune mais ils ont refusé sous prétexte certainement vrai que les platanes sont malades et que ils doivent brûler les copeaux) , et le prix du BRF chez MAGELLAN est vraiment prohibitif pour moi, donc je recouvre mon sol du reste de la consoude qui ne me sert pas au purin (autrement dit c’est pas un couverture mais un drap!!). Je vous remercie pour votre contribution au livre « Enrichir ma terre en hivers » que j’ai adoré et par le biais duquel j’ai connu votre blog.
    Jean-Michel

  25. jawad dit :

    bonjour gilles.
    je viens de m’inscrire sur votre site et j’aime ce partage et la chaleur humaine avec une pointe d’amour et de respect de la nature qui dégage de ce blog.
    je suis de la région de Lille et je viens d’acquérir une quinzaine d’hectares autour d’Essaouira.
    Mon terrain dispose d’un puits avec beaucoup d’eau de l’eau courante et de l’électricité.
    Mais je désire respecter ce terrain par le biais d’une agriculture en symbiose avec le monde agricole qui m’entoure là bas.
    l’eau de pluie est déficitaire à essaouira(les besoins en eau sont le double des précipitations annuelles) et le gouvernement avec son MAROC PLAN VERT rembourse tous les investissements(puits goutte à goutte achats d’arbres fruitiers graines semis oliviers tracteurs…).
    j’ai envie de planter des oliviers des arganiers des figues de barbaries et de faire un potager géant pour commercialiser en direct mes récoltes.
    est ce que votre méthode est compatible là bas.
    je possède aussi une fermette de 2 hectares qui peut accueillir chèvres et vaches…

  26. capucine dit :

    Bonjour à toutes et à tous

    Je viens de m’inscrire sur ce bo-blog ! je commence un potager, j’habite en Loire Atlantique , en Brière et je suis à la recherche de quelqu’un qui aurait un broyeur à me prêter ou à me louer. Comme nous le savons, pour qu’un jardin donne, il faut d’abord lui donner et , si j’ai commencé un compost, je vais devoir augmenter sa quantité grâce aux végétaux broyés; en effet, nous sommes 2 et avec peu de déchets.
    Merci d’avance, en échange, je pourrai aussi donner des légumes l’été prochain !

  27. sofy dit :

    Tous les 2 ans je taille une haie de cyprès et pour pouvoir recycler ces déchets j’ai acheté un broyeur pour étendre le résultat dans le jardin. Un voisin m’a déconseillé de le faire car le cyprès serait un végétal  » poison » qui va polluer la terre et les légumes qui y pousseront par la suite? depuis je cherche à vérifier cette info.

    • Danièle dit :

      quand je taille mes cypres, je passe les déchets au broyeur, je ne les mats pas au compost, mais je les laisse en paillis à leur pied, cela sent très bon, et ne nuie pas au lierre qui y pousse

  28. kenza dit :

    bsr, je pssede ne terre au maroc. Je cherche un couple d’européens qui voudraient bien s’en occuper. J’y ai construit une maison en pisé et cherche une asscoiation pour a la foi s travailler la terre, construire un camping caravaning et le combiner avec la maison qui ferait office d’un gite rural. Les choses se feront progressivment bien sur. mon adresse est la suivante: el.kenz@hotmail.com. toute personne interessée pourra me contacter. merci

  29. Gaikowski dit :

    Bonsoir
    au début, j’ai laissé le lierre proliférer partout mais je constate qu’il affaibli les arbres vivants et j’ai trouvé des branches envahies de lierre qui sont mortes. J’apprécie beaucoup cette plante, les abeilles se régalent en automne et les merles au printemps mais maintenant je ne le laisse proliférer que sur des troncs morts ou pour habiller les poteaux électriques, ou à la limite je le laisse grimper aux murs…
    Cordialement

  30. sadia. dit :

    je suis passionnée de jardinage mais je commence tout juste à apprendre j’ai un petit jardin potager que j’ai mis en place pour la première fois en travaillant le sol pour le moment je suis plutot contente du resultat mais jéspere plus avec votre méthode merci excusez mes erreurs je ne sais pas tres bien manipuler le clavier

  31. For instance, original models are turned into hybrid ones for more eco-friendly elements.
    These messages sent directly to the brain are actually having to converse with people, but having someone one send
    a message from half away around the word right to the brain’well most likely impossible.
    They said they didn’t offer upfront payment for book reviews or for
    articles they adjudged to have a predictably « short shelf life » or that were focused on subjects that they already
    had a lot of content published on.

    Feel free to visit my web site – Evolution Battle For Utopia Hack

  32. Christelle dit :

    Bonjour, nous venons vers votre vous car nous avons obtenu 1 parcelle enherbée, avec des restes de culture du précédent locataire et des adventices en graines que nous avons arrachés. Mais je crois que nous n’aurions pas dû le faire…. pour garder la faune et la flore pdt l’hiver… Du coup, nous pensons enlever ces herbes et les mettre de côté, puis pailler pour ne pas garder le sol « nu ». Est-ce la bonne solution? ou bien planter 1 engrais vert puis recommencer l’opération d’arrachage au printemps? Merci pour votre réponse et bonne continuation.

  33. […] Jardinons Sol Vivant ! | – Jardinons Sol Vivant ! Halte au maraichage ! Derrière ce titre un peu provocateur, se cache une réalité bien présente, à laquelle je suis confronté de plus en plus souvent, et qui, je dois dire, me préoccupe!!! […]

  34. Marie Luce dit :

    Bjr, en formation BPREA maraichage dans le 49, en reconversion prof. avec une forte envie de m’installer par la suite. Votre site me paraît utile pour compléter ma formation. Je suis novice dans la pratique, je ne cherche qu’a apprendre et pratiquer. Merci d’avance pour vos informations précieuses. Cdt

  35. ellakpaul06 dit :

    Comment faire pour que l’eau ne devienne verte dans un récupérateur d’eau

  36. installé depuis bientôt 10 ans sur une Ferme de 16 ha sur les Hautes Terres à Madagascar nous venons de passer à l’Agriculture sans labour et à la Permaculture. En 2 mois les résultats commencent à être époustouflant et je regrette de n’avoir pas su mettre en pratique ces méthodes si simples et qui redonnent la Vie à notre terre qui nous tuons avec le bêchage, le binage, et surtout le labourage qui est le pire de tout. Du coup 90 % d’arrosage en moins, 95 % de compost à rajouter en moins, 90 % de désherbage en moins, rendement meilleur, suppression de 90 % de parasites, 90 % de maladies en moins . . Donc comme j’ai découverts cette façon de faire grâce à une amie de la Réunion qui m’a envoyée par internet un petit film sur ce sujet, je témoignes à mon tour pour que d’autres personnes découvrent le plaisir de cultiver sans se fatiguer et se faire mal au dos. Et de manger des légumes bio savoureux et beaux. Des dizaines de milliers de personnes en France font ça mais faut encore plus le faire savoir autour de soi.

  37. Badanassidou dit :

    salut!!! je vous écrie depuis le Togo; j’ai une question: la construction de serre en milieu tropicale peut- il être rentable?

  38. daviler dit :

    Bonjour

    Je connais quasi rien en agriculture BIO, et agriculture tout cours ! les divers lierres et ronces sont-ils « compostable » vert avec fruits légumes coquilles d’oeufs, et sans agrume, carné, produits laitiers, poissons, restes de repas, en 2 mots qu’est-ce que je peux entrer à mon composteur.

    D’avance merci.

  39. eric dit :

    Bonjour j’aimerais savoir si vous n’avez pas de formation ou de conférence cette année sur Genève .

    je suis agronome et Permaculteur débutant

    A bientôt.

  40. bolore dit :

    tous les commentaires m’interessent – je ne suis pas très productive (âge) mais il y a un bon moment que j’ai constate que mon petit coin de terre se mourrait ettout les sujets sur la permaculture me requinquent alors je vais reprendre des forces

  41. raharinirina dit :

    Bonjour Gilles
    je suis heureuse d’avoir trouver votre site , j’habite à Madagascar l’impacte de la révolution verte ,la pauvreté du pays , obligent les paysans de pratiquer les techniques conventionnelles .Comment convertir ces pratiques au technique sans labour , et les résultats au début ?

  42. Mireille dit :

    Bonjour Gilles,
    enchantée d’être arrivée ici…
    je débute en tout mais je n’utilise aucun additif « acheté » dans mon jardin, j’ai fait mes purins d’ortie, de grande consoude, et je me débrouille en ce moment comme je peux en m’inspirant de la Méthode de compostage Berkeley, car mon composteur ne se rempli pas suffisamment. Ici c’est la Beauce donc, rien ne peut être totalement bio, car nous subissons les effluves des champs à côté. J’ai du amender une terre remplie de caillasses et argileuse dure comme de la pierre, alors je remue 10 cm maximum et j’ajoute des couches. Je m’intéresse aux buttes auto fertiles sans les avoir encore expérimentées. J’ai acheté des graines pour lesquelles je souhaite expérimenter les semis si quelque spécialiste pouvais me renseigner sur les SEMIS DE GRAINES (j’ai 2 très grands chassis) des Coeur de Marie, des Lys, de la Fétuque, du Muguet, des Hibiscus, des Fuchsias et des Lycoris ce serait super car je ne trouve pas grand chose sur ces variétés…Je sais ça fait beaucoup mais sait-on jamais ? merci d’avance.

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