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Que signifie Jardiner « Sol vivant » ? En fait je vous en fait la confidence, c’est une expression que j’ai inventée. J’aurai pu appeler ce blog jardin « sans travail du sol » mais ça me plaisait pas de définir par la négative un thème aussi passionnant.

Pourquoi donc vouloir supprimer le travail du sol ? C’est quand même bien connu qu’il est IMPOSSIBLE de cultiver un jardin sans bêcher, passer le motoculteur, biner… Qu’est ce que je vais donc vous dire ? Que c’est affirmation séculaire est fausse ? Eh bien oui, c’est ce que je vous affirme. Je vous l’accorde cela demande une certaine technicité et pas mal d’essai, pour ne pas dire d’échec, avant de trouver un système qui fonctionne sur chaque sol, chaque culture, mais c’est possible ! Non seulement c’est possible, mais en plus cela permet de mieux gérer la fertilisation, l’irrigation, la santé des plantes, la qualité du sol…

Pour mieux comprendre cela, imaginez que 90% de la vie est dans les 10 premiers centimètres du sol ! Il apparaît alors clair que tout travail, même peu profond la perturbe profondément. Or qui mieux que les vers de terre travaillent le sol en creusant tout un réseau de galeries qui structurent et aèrent jour après jour, nuit après nuit la terre que nous cultivons ? Qui, mieux que les champignons mycorhiziens aident les plantes à se nourrir en utilisant le plus efficacement possible les ressources en eau et nutriments qui lui sont difficiles d’accès ? Qui, mieux que les animaux du sol peuvent recycler les matières organiques pour créer une fumure idéale pour nourrir nos cultures ? Qui mieux que les légumineuses et les bactéries qu’elles abritent dans leur racines sait fixer l’azote de l’air pour l’amener dans le sol ?

Vous l’aurez compris, je propose de remplacer le travail de l’outil par celui des organismes du sol. Des articles à venir vous feront découvrir plus en détail ce monde vivant, fascinant et complexe mais aussi des pratiques de jardinages adaptées, des expériences de praticiens, des critiques d’ouvrages spécialisés, des videos, des interviews…

Que vous soyez ou non familier de telles pratiques, je vous invite à me laisser un commentaire ci dessous pour me partager votre expérience, me livrer vos doutes sur ce que j’écris, ou encore à me poser une question à laquelle je répondrai dans un prochain article…

A très bientôt

Gilles

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75 Responses to Travailler avec la vie du sol

  1. Jean-Claude LE GOAS dit :

    Cher Gilles, je suis propriétaire depuis 40 ans d’un potager de 200 m2, sur 1800 m2. J’ai travaillé d’abord avec une moto-bêche dont je me suis débarrassé depuis 25 ans, puis à la bêche, d’abord à soc puis à fourche, enfin depuis je suis passé à la grelinette depuis 5 ans. depuis l’année dernière je suis passé au BRF. Je possède deux broyeurs, dont un à couteaux (Steinmax 1500w) depuis 25 ans pour le compostage, et un Casto à rouleau horizontal (2500w) qui, s’il broie moins fin est tout à fait adapté au BRF. Depuis toujours, je composte environ 3 m3 par an (feuilles, branches broyées, litières de poules et lapins, déchets organiques familiaux).Je ne traite rien depuis au moins 10 ans. Je cultive , entre autres, une bonne vingtaine de variétés de tomates, superbes et sans maladies. J’ai bientôt 70 ans mais j’attends avec impatience le résultat d’un épandage de 10 cm de BRF sur 20 m2 depuis 8 mois.
    Cordialement J-C

    • Gilles Domenech dit :

      bonsoir Jean Claude,
      Très intéressante ton évolution! J’apprécie beaucoup les gens qui savent remettre en question leurs méthodes et toujours évoluer, avancer!
      Tiens nous au courant de tes expériences et bonne découverte de ce blog!
      Gilles

  2. Caisso dit :

    je souhaite demarrer un potager et suis vivement interessee par ces methodes : brf, compost, grelinette etc…

    • Gilles Domenech dit :

      Alors bienvenu sur ce site 😉 !

    • Phillipo dit :

      Bonjour,
      Si par transmission de par mon G.père de technique pour cultiver par les méthodes respectueuses de la nature, il y a 3 ans j’ai quitté le nord de la France pour aller faire de la culture dans le sud de l’Italie. Là bas j’ai vu qu’il y a 2 modes de culture, la culture d’arbres qui n’ont pas de grand besoin d’eau et pour les cultures de légumes elle se fait sur de mince bande de terre proche de la mer, ou de cour d’eau. Je me suis aperçu que les espaces ou l’agriculture arboricole est roi les terres sont devenu semi aride car ces arbres ne fabrique pas d’humus mais certaine mauvaises herbes pousse quand même elle sèche très vite et elles deviennent des allumes feux. De ce fait on est obliger de travailler la terre éliminer ces herbes, mais sans riens en tirer. La pauvreté du sol rend impossible la culture de légume. Je me suis aperçu que là-bas il brûle toutes les tailles d’arbre chaque année j’ai donc emporté avec mon broyeur et j’ai essayer de faire du composte dans le but de faire de l’agroforestier mais la taille des Oliviers donne beaucoup de matière brune. Pour la matière verte pour mon essai j’ai utilisé un peu de tréffle sauvage malheureusement j’ai pu voir que je n’avais pas suffisamment de matière verte surtout que là c’était qu’un essai et que je voudrai passer a une échelle bien plus grande. Une chose certaine le terrain étant exposer au Sud je n’ai pas beaucoup d’ombre j’avais trouvé une petit coin derrière des très grand rosier et on a vu un net changement car les roses on doublé de volume et ont fleuries jusqu’en Décembre alors que les autres années fin octobre c’était la fin.

      Qui pourrait me dire quelle plante je pourrais semer pour produire de la matière verte en grande quantité sachant que de la pelouse avec la chaleur va sécher rapidement ? Même si c’est de la culture en escalier la place ne manque pas.

      Merci

      • C’est une très bonne idée que de chercher à implanter des plantes pour produire de la biomasse sur place !
        Cela dit dans des terres arides, on ne peut avoir de croissances impressionantes. A mon avis, le mieux est d’observer les plantes qui poussent spontanément sur ces terrains là (ligneuses ou herbacées) et d’apprendre à les utiliser.
        Il est également intéressant d’utiliser des plantes qui font leur cycle plutôt en hiver, comme les fèves ou les pois, afin d’éviter de concurrencer les arbres et d’occuper l’espace à un moment où le sol est plus humide, donc plus favorable à la pousse des annuelles.

  3. Alain Lacombe dit :

    bonjour Gilles,
    Depuis mon passage à la retraite, ( j’ai 64 ans ), je pratique le jardin au naturel sur une surface de 126m2. Le jardin Bio est une appellation marketing qui à mes yeux n’a pas de sens . J’ai toujours bêché pour respecter les vers de terre , je fais mon compost et utilise toutes sortes de purin avec plus ou moins de succès. J’habite un lotissement récent avec une terre décapée par le promoteur. Un sou est un sou surtout lorsque l’on revend cette terre aux nouveaux propriétaires. Je ne suis pas tombé dans ce piège et il m’a fallu dans cette terre argilo-calcaire beaucoup de patience, d’efforts et de travail…..Le résultat est là dans mon assiette.
    Un seul regret, celui de ne pas avoir compris la signification de la phrase : « Culture sur couvert végétal » prononcé par Claude Bourguignon . La découverte de votre site va certainement changer mon travail de jardinage et réduire mon mal de dos devenu chronique. Mes salutations. Alain17

    • Phillipo dit :

      Bonjour Gille et Alain,

      J’ai souvent travailler au Jardin avec mon grand père malheureusement décédé depuis plus de 20 ans. Comme Alain il a toujours bêché son jardin avec un fer de 20. Si je suis d’accord avec le principe de travailler avec les habitants de la terre, d’ailleurs mon G. père n’utilisait pas de pesticide mais plutôt des purins il me disait toujours que le fait de retourner les 20 premier cm cela permettait de faire mourir les mauvaises herbes, de nourrir la terre, et le fait de redescendre les vers et autres insectes cela permettait de les faire travailler sur une plus grande épaisseur et il avait un jardin avec une épaisseur de 20 à 30cm de terre noir avant d’arrivé a l’argile. On sait que la terre noir on l’obtiens avec de l’humus. On sait aussi qu’une plante lorsqu’elle a un système racinaire fort elle est plus forte, donc il faut plus de 10 cm de terre noir. Si l’on veut transformer de l’argile en terre cultivable je ne vois pas comment on peut le faire sans aller creuser dans l’argile pour la remonter en enfuisant de l’humus ou des végétaux qui se transformeront en humus et mixer l’argile remonter avec de l’humus. Mon G. Père avait aussi une autre pratique c’était de récupérer les centres du foyer, qu’il tamisait de cette façon il pouvait rebruler les grosses cendre qui était passé trop vite au travers de la grille du foyer et les fines cendres il les étalait sur son jardin. De cette façon il apportait du calcium des minéraux qui faisait office de sable. Il était aussi pêcheur et je me souviens que lorsque l’on allait ensemble pécher il prenait un seau d’eau il le versait dans le jardin et moi j’étais prêt a attraper tous les vers de terre qui remontait, je me souviens que l’on en a jamais manqué, la terre était véritablement peuplé, le bêchage n’a jamais ni dépeuplé la terre. J’ai donc parfois un peu de mal a comprendre que l’on critique le fait de retourner la terre, aujourd’hui je vois souvent des gens ne passer que le rotovalor mais celui-ci aère la terre que sur les 10 premier cm donc la même profondeur que ce que les insecte font n’y a t’il pas contradiction ? Si les vers aère la terre dans les 10 Cm pas besoin du roto, donc qui travail la partie de 10 à 20 ou 30 cm de profond si on n’y injecte plus d’humus et si on ne l’aère plus ?

      • Bonjour Phillipo,
        Je me rends compte que je n’ai jamais répondu à votre commentaire, veuillez m’en excuser.
        Tout d’abord, sur le désherbage : en effet retourner la terre est un des moyens de gérer l’enherbement, c’est pour cela que les méthodes que je met en avant ici doivent chercher d’autres façon de faire, comme la couverture du sol par des mulch oui des plantes vivantes.
        En revanche, à mon avis vous faites erreur lorsque vous dites que le bêchage permet aux vers de travailler plus profondément. Au contraire, ils n’ont pas besoin de notre « aide » pour aérer le sol jusqu’à parfois un ou deux mètres !!!
        Ils font donc ce travail de brassage dont vous parlez ici et il n’y a pas besoin que le sol soit travaillé à 30 cm pour être aéré à cette profondeur voire plus.
        Ensuite enfouir de la matière organique risque de mettre celle-ci en mauvaise conditions de décompositions, surtout lorsqu’elle est verte et enfouie à plus de 20 cm. Enfouir les MO ne permet en rien d’avoir un sol plus humifère. Dans les prairies naturelles, c’est le réseau fasciculé et dense des racines des graminées qui permet d’avoir des sols humifère sur une épaisseur importante, en aucun cas le travail du sol qui n’a de toute façons pas lieu dans ces milieux.
        quant au Rotavator, je ne préconise pas du tout l’usage de cet outil au jardin 😉 !

  4. Christian Lucas dit :

    Bonjour,

    Depuis l’an dernier j’ai démarré un potager sur une parcelle de 150 M2 située dans un jardin patagé de la commune de Serres Castet (64)
    Ayant lu avec grand intérêt de livre « Le Jardin naturel » de Jean Marie Lespinasse j’ai crée l’infrastructure de ma partcelle au travers 8 buttes de 1,20 de large sur 8 m de long .
    Ayant pu récupérer du BRF au printemps dernier j’ai épandu celui ci sur mes buttes . Certains légumes n’ont pas aimé ( tomates notamment) car victimes certainement de la faim d’azote .
    2011 devrait être meilleur , pas de retournement de terre, paillage etc
    Je ne manquerai pas de vous tenir au courant

    Cordialement

    • Gilles Domenech dit :

      @Christian : OK, tenez-nous au courant!
      @Alain : C’est vrai, le terme de « couvert végétal » est parfois confondu avec paillage ou mulch, alors que la réalité est tout autre! Bonne découverte de ce site alors!

    • LARRECHE dit :

      bonjour

      je suis animatrice territoriale au SIECTOM et nous sommes à la recherche de personnes qui seraient d’accord de nous faire partager votre expérience sur le jardinage alternative.
      moi, aussi j’ai testé le fait de déposer des feuilles mortes+herbes + paille en couche épaisse toute l’année sur mon potager
      et je ne passe plus le motoculteur mais juste un peu une fourche rotative, je sème et ça pousse
      et franchement le jardinage comme ça est beaucoup plus agréable et moins fatiguant!!
      j’espère qu’on va pouvoir se rencontrer ; je vous ai mis mon mail du travail
      merci
      à bientôt

  5. christian londot dit :

    bonjour
    je travaille un potager uniquement sous abris et dans des bacs divers suivant les plantes cultivées
    voici un peu plus d’un que j’applique la permaculture et cette année le résultat est déjà plus que probant
    cordialement

  6. Bastien dit :

    quelle heureuse découverte que ce blog ! Je retrouve ici quelques noms déjà croisés ailleurs sur le net lors de mes recherches pour avancer dans mes expériences. Actuellement étudiant, je cultive un potager sur sol vivant et sans travail du sol depuis maintenant presque 3ans. Mais déjà avant les engrais verts étaient de la partie seul le motoculteur faisait de l’ombre au tableau. J’expérimente diverse technique afin de ne garder que les plus performantes sur tout les plans: durabilité,productivité … car c’est bien beau de ne plus gratter le sol mais il faut quand même manger. J’essaye de partager mes expériences ( malheureusement mes albums photos ne sont pas réguliers 🙁 …

  7. dominique montpellier dit :

    voila je suis de la region montpellieraine j’exploite un jardin de 100 metres carees je voudrais trouver du brf du cote de stgeorges d »orques juvignac ect……….pouvez vous m’aider avez vous des » antennes « dans cette region merci cordialement

  8. Maurice dit :

    le sol que je dédie au jardinage présente une terre « correcte » sur 10 à 15 cm, maximum, sur une barrière rocheuse quasi continue heureusement fractionnable au trident, voire à la barre à mines!
    étant donné que, sur le Gard, il ne tombe pas une goutte en été, sauf celui ci! il n’est pas possible de se contenter de cette épaisseur, il faut donc commencer par travailler le sol…
    pas de travail du sol, je veux bien mais peut-être faudrait il définir une hauteur minimale de sol dans l’optique de ce genre de culture?

    • Gilles Domenech dit :

      tout d’abord, il faut bien reconnaître que c’est un véritable défi que de chercher à faire un potager dans un sol aussi difficile! Mais bon pourquoi pas? Après tout Jean Pain a bien réussit un merveilleux jardin sur une dalle calcaire dans le Var!
      Dans ton cas, je ne vois qu’un véritable problème: celui de l’eau: ton sol étant peu épais, la réserve utile est faible, surtout que dans ton climat, le sol sèche vite au premier coup de mistral et aux premiers rayons de soleil du printemps! Le fait justement de ne plus travailler le sol t’éviteras déjà de gaspiller cette eau lors du bêchage! Ensuite, il faudra que tu fasses attention si tu met un couvert hivernal: pas question pour toi de le laisser jusqu’à fin avril, il faudra que tu le détruises au moins un mois avant la mise en culture et que tu pailles bien entre temps!
      Niveau irrigation, au moins les premières années, il ne faudra pas lésiner et y mettre la dose normale, quand ton système fonctionnera tu verra si tu peux te permettre de réduire l’arrosage!
      Un second soucis sera que tu es limité dans la taille des légumes racines, mais ça ma foi, ce n’est pas si grave, ils s’arrêteront sur la roche et seront un peu tordus, ce n’est pas cela qui les empêchera d’être savoureux!
      Sinon, tu as aussi la possibilité de faire des buttes lasagnes ou un jardin en carrés, comme celui de Loïc: https://jardinonssolvivant.fr/jardin-loic-rouen1!
      Voilà, j’espère avoir répondu à tes interrogations.
      Bon courage et n’hésites pas à nous tenir au courant!

  9. Maurice dit :

    Je suis bien obligé de faire avec!
    En fait, je réalise une butte de 3m x 1,2m avec des planches de coffrage; de plus j’ai creusé au moins 20cm dans la couche rocheuse, ce qui représente une hauteur totale de 50 à 60cm…sacré boulot, le dos fatigue: aussi j’aimerais avoir une idée de profondeur moyennement correcte, histoire de ne pas creuser pour pas grand’chose!

  10. JÉZÉQUEL dit :

    J’ai grandi dans l’agriculture traditionnelle d’abord puis de plus en plus chimique et empoisonnée.Je jardinais de la même façon et n’imaginais pas qu’on puisse éviter le travail du sol.J’ai même commencé le dressage d’un cheval pour utiliser une méthode plus douce.Jusqu’à ce que je rencontre Jean Pain,Claude Bourguignon et d’autres (dont vous) dans les livres seulement.J’ai fait en 2011 un essai de Brf pas concluant au niveau des récoltes(les limaces sen sont chargées)mais extraordinaire pour ce qui concerne le sol.La partie « traitée »était parfaitement meuble alors que la partie « témoin » était si dure que la fourche bêche ne pénétrait pas.
    Cependant,je m’interroge sur la façon de détruire et d’incorporer les engrais vert.

  11. michel dit :

    bonjour ,

    merci pour ce site très intéressant . Habitant en ville , j’ai réalisé un petit potager bio en bacs sur le toit de mon atelier .

    http://monpotagerurbain.jimdo.com/

    bonne année à vous et à tous vos lecteurs

  12. Michel V dit :

    Bonjour à tous,
    Nouvel arrivant sur le site, peu expérimenté en culture, je cultive depuis 4 ans un potager de 250 m² et j’ai constitué un verger cet hiver.
    Je suis tombé au printemps dernier sur un site qui m’a permis de connaître Dominique SOLTNER. Depuis j’ai mis au garage, motobineuse, bêche. Je n’utilise que accessoirement une fourche.
    J’en veux énormément à M. de La Fontaine pour avoir mis en application sa fable « Le laboureur et ses enfants ». Les vers de terre avaient émigré. Depuis l’an dernier ils reviennent en force, les taupes aussi, tant mieux, les limaces sont superbes et bien grasses; J’ai pourtant des salamandres en quantité. Un hérisson serait le bienvenu. J’habite la campagne bretonne.
    Donc merci à vous tous, car je suis le « pirate » des sites de ce genre.

  13. bouvier françoise dit :

    je suis totalement néophyte et citadine de surcroit ,mais je viens d’hériter d’un jardin qui n’a pas été travaillé depuis 30 ans ,avec quelques arbres fruitier en mauvais état,près de la forêt de fontainebleau.Je me documente donc pour savoir par où commencer et comment faire

  14. Arnaud dit :

    bonjour Gilles,
    Je découvre depuis peu ton blog : je le trouve extra, te félicite pour ton travail et t’accompagne dans cette démarche d’information et de sensibilisation. Je suis animateur au sein d’une association d’éducation à l’environnement (ADATER)pour laquelle j’ai créé et entretien depuis 10 ans un jardin-refuge de la biodiversité. Ce jardin pédagogique accueille des scolaires et du grand public pour des sorties, des stages… je jardine sur sol vivant depuis 5 ans. L’approche du BRF à complétement boulversé mon rapport à la terre, au sol, à la MO… moi qui pensais jardiner « bio » depuis 15 ans !! Il y eut la prise de conscience, la remise en cause l’apprentissage et il y a maintenant le partage. Je tente aujourd’hui quelques expèriences sur différents sols avec différentes couches de matières organiques. Le but étant de proposer des alternatives et de rendre cette pratique accessible au plus grand nombre.
    J’ai des questions sans réponses et je compte bien un peu sur toi pour m’éclairer…
    Merci encore !
    Libérons l’humus ! Salutations Naturalistes.

    • Gilles Domenech dit :

      Salut Arnaud,
      Tes observations sont les bienvenues si tu souhaites les partager sur ce blog, y compris en me proposant un article!
      Il y a un soucis sur l’adresse de ton blog, celle que tu es entré est invalide, si tu veux, tu peux ne l’envoyer par mail pour que je la corrige.

  15. Christel Dalboussière dit :

    Bonjour tout le monde,
    je m’adonne depuis 14 ans à la culture « traditionnelle » mais sans pesticide de mon petit potager (50m2). Comme chaque année à cette période, j’ai commencé à bêcher « fin menu » ma parcelle 🙁 suis arrêtée net la semaine dernière dans ce travail laborieux et dévasteur, lorsque je suis tombée psur l

  16. Christel Dalboussière dit :

    Bonjour tout le monde,
    je m’adonne depuis 14 ans à la culture « traditionnelle » mais sans pesticide de mon petit potager (50m2). Comme chaque année à cette période, j’ai commencé à bêcher « fin menu » ma parcelle et me suis arrêtée net la semaine dernière dans ce travail laborieux et dévastateur après être tombée de fil en aiguille sur le blog de Gilles via « En symbiose avec son potager » (toutes mes félicitations pour cette belle initiative !). Depuis, je n’ose plus remuer tout ça et me demande quel engrais vert vais-je bien pouvoir semer cet automne (ou dès maintenant) ?. Les commérages dans le lotissement risquent d’y aller bon train quant à l’entretien de mon potager mais je tiens maintenant à rendre à ma terre ce qu’elle mérite depuis qu’elle me donne (malgré tout) de beaux légumes ! Espère vos conseils pour m’aider à débuter : trèfle ? avoine ? phacélie ? moutarde ? sur petite parcelle en Haute-Savoie… Merci beaucoup !

  17. Gilles Domenech dit :

    Bravo à toi Christel, pour ce désir de changement!
    Pour ce qui est de l’engrais vert, attention aux trèfle qui sont la plupart du temps vivace. Parmi les trèfle annuels, le plus utilisé est le trèfle incarnat à semer maintenant ou en septembre. Sinon les autres plantes citées sont toutes de bonnes candidates! Tu trouveras plein d’autres idées dans les articles de ce blog consacrés aux couverts végétaux.
    Bonne découverte!

  18. Nicolas dit :

    Bonjour,
    j’ai construis hier un carré de 1m20 de coté 20cm de h, j’ai bcp de mal a savoir par quoi commencé se site mes donc d’une très grande utilité n’ayant aucune base de jardinage de culture ou de quoi que se soit en rapport ac les plantes, fruit, légumes, composte, terre etc. Je me lance la dedans pour le plaisir et l’envie de mangé des chose saines tout en respectant la nature.

  19. Hauff Maurice dit :

    Bonjour,
    Je me suis inscrit hier, vous me préconisez de lire les article 1 à 3
    Pour l’article 1 je n’ai rien à ajouter puisque depuis 1970 je ne reourne plus la terre sauf pour défricher les zones non cultivées depuis longtemps.
    Depuis 1958 j’était abonné à La Vie Claire de H-C Geoffroy
    J’ai fait partie de nature et progrès du temps de Claude Aubert (année 60).
    Mon fils m’a offert en allant à la journée des plantes de Courson le livre de Anne Loch « Les micro-organismes efficaces au quotidien » que je trouve génial. Il m’a donné un litre de EM A mais sans notice explicative.
    Je recherche donc comment l’utiliser ? Pouvez-vous m’aider ?
    Je suis un fervent de Rudolf Steiner et Johann Wolfgang Goethe
    J’essaie la culture bio-dynamique avec les livres de Maria Thun.
    Cordialement
    Maurice Hauff (né le 3/2/1933)

    • Gilles Domenech dit :

      Bravo Maurice pour ce riche « CV » de jardinier!
      Pour l’utilisation des EM, le mieux est de contacter directement le fournisseur:
      http://hector-produits-naturels.com/
      Une de mes lectrice doit prochainement me proposer un article sur ce sujet, mais elle ne l’a pas encore finalisé.

  20. Donatien (44) dit :

    Bonjour Gilles, bonjour à tous,
    Nouvel arrivant. Je suis à peu près neophyte sur tous ces sujets, cultivant seulement un Gloubi-boulga de légumes et de fleurs diverses sur environ 10 m²…
    – C’est quoi de l’EM ? (Merci aux spécialistes de penser aux débutants ! Le glossaire ne dit rien sur « EM »).
    – Ne serait-il pas interessant que chacun ajoute sa localisation à la suite de son nom pour avoir une idée du sol et du climat ? (Simple suggestion)
    Cordialement,

    • Gilles Domenech dit :

      Bonjour Donatien,
      Les EM sont les Effective Micro-organisms, soit micro-organismes efficaces en français. Ce sont des inoculum bacteriens aux usages multiples et plein de promesse que l’on trouve dans le commerce.

  21. Gaël dit :

    Bonjour à tous, je suis heureux de trouver ton site. J’ai un petit potager chez moi, et un plus grand que j’ai commencé à réaliser à mon boulot cette année. Je suis animateur environnement et gestion des déchets dans un collectivité en normandie. Dans le cadre de la réduction qualitative des déchets, nous avons comme objectif de montrer à la population les bienfaits réels du jardinage « bio », et de lui donner les pistes pour lui éviter d’acheter des produits nocifs. Je récupère des cartons dans nos déchetteries pour faire des lasagnes avec des classes de primaire ou pour désherber, nous récupérons aussi le BRF de nos collègues qui bossent en voirie et qui broient pas mal l’hiver. Rien ne se perd tout se transforme… autant de déchets qui n’en sont plus, du coup, et qui ne coûteront pas à la collectivité pour être éliminés! Bref je suis dans un intense réflexion sur ces « nouvelles » pratiques, et je suis ravi de pouvoir chercher des éclaircissements sur ton site!

  22. Elisabeth dit :

    Bonjour,

    Comment détruire des petits chênes de façon naturelle dans mon jardin?

    Merci

  23. laurent dit :

    Bjr à tous
    Bjr Gilles

    Depuis plusieurs années je pratique la mise en place de BRF sans savoir ce que c’était
    Etant paysagiste je broyais mes détritus pour les mettre sur mon terrain (potager, massifs et arbres) et j’ai vu une vie se développer

    Ma question est toute simple

    Il existe depuis longtemps des plate-formes de compostage ou l’on déverse tout nos déchets verts plus quelques résidus de sociétés ‘papeterie et boulangerie industrielle)

    Tout se BRF est là devant nous mais personne n’a le droit d’en prendre, pire que ça on paye les agriculteurs pour pouvoir en étendre dans leurs champs

    Pourquoi se BRF n’est il pas disponible pour nous????

    Merci de la réponse

    Laurent

    • Gilles Domenech dit :

      Salut Laurent,
      En effet les déchets verts après collecte en déchetterie sont apportés dans une plate forme de compostage. Ils y sont ensuite compostés, soit en tant que compost de déchet vert, soit avec des boues d’épuration. C’est ce compost là qui va sortir et être donné/revendu à des agriculteurs des entreprises ou des particuliers suivant le fonctionnement de la plate forme. Là, tout existe, j’en connais même qui mettent le compost de déchets vert en sacs pour le revendre aux particuliers.
      Cela dit, rien n’empêche de contacter les responsable des plate forme pour aller broyer chez eux pour produire du BRF, ou encore pour les solliciter à en produire eux même. J’ai moi même beaucoup broyé de BRF sur une plate forme de l’agglomération d’Auch et je connais plusieurs plates formes en France qui produise du BRF! C’est donc possible, à toi de voir ce que tu peux faire avec celles qui sont près de chez toi.

      • inard dit :

        je redoute le compost fait avec comme entrant dans sa composition déchets vert +boues de station d’épuration .Pensons un peu à tout ceux qui part en décantation dans les stations d’épurations!Produits ménager,médicamenteux,détersifs ,polluant chimiques
        en bref tout ceux qui part dans les égouts.Même monté en fermentation pour les composter avec des déchets vert tout ne doit pas être détruit?

        • Gilles Domenech dit :

          Effectivement, certains composés sont mal détruits par les stations d’épuration. Je suis également méfiant quant à l’utilisation de tels composts au jardin.

  24. sandrine dit :

    Bonjour Gilles, ainsi qu’a vous tous, que de choses interessantes a lire! C’est passionnant et tres instructif pour une novice telle que moi qui ai pose mon sac l’annee derniere sur une ile des Acores apres 17 ans de navigation dans l’emisphere sud. J’ai demarre un potager (200m2 environ) en debut d’annee avec un melange « terre de jardin ordinaire »(du moins j’imagine que ce sont les termes, c’etait des paturages pour vaches…) +environ 30% de fumier de cheval composte). Mon terrain comporte une riviere qui ne coule qu’en cas de pluies ainsi que pas mal d’arbres (Chene, Incenso et autres dont je ne connais pas les noms en francais). Toute cette vegetation environnante fournit a foison des feuilles mortes, des troncs ou branches d’arbres en decomposition et meme du sable noir transporte par la riviere… J’aurais voulu savoir ce que vous pensiez d’un paillage de mon potager avec tous ces differents materiaux recuperes sur le sol. Je peux eventuellement y ajouter qques branches vertes et feuillues…(?) N’ayant pas de broyeur, j’emiette plus ou moins a la main. Aussi, soucieuse de garder ma terre en permanence couverte d’au mois 2-3cm de ces debris vegetaux, je ne sais pas trop comment la proteger lors des semis et lorsque les plantes sont toutes jeunes. Peut etre un composte et du fumier de cheval bien decomposes? Avec par dessus qques debris legers comme du bois et des feuilles pourrisants (comme disait Lea). Et puis j’ai transplante qques trefles blancs dans les allees de passage entre mes planches, il a a present recouvert tout cet espace limitant grandement les « mauvaises herbes ». Je tache de ne pas le laisser gagner trop mes planches. La question serait de savoir si je continue de le laisser vivre sa vie, fleurir et mourir tranquille? J’imaginais qu’il nourrirait la terre de toute facon (avec apport d’azote compris) car il y a bien des plants qui meurent et se decomposent naturellemnt alors que d’autres naissent non? Encore bravo et merci pour ce site. A bientot.

  25. charly dit :

    Bonjour Gilles,
    Merci pour ces informations. Suite a des problèmes de dos j’avais abandonné le travail d’un petit potager. Je vais donc expérimenter ce nouveau jardinage. Nous sommes en septembre, est-il possible d’incorporer un peu de brf dans la terre, la recouvrir ensuite d’un paillis divers (tontes, feuilles,etc) et semer ou planter dès mars 2012 ?

    • Gilles Domenech dit :

      Bonjour Charly,
      Oui c’est tout à fait possible. L’incorporation du BRF sera même superflue, contente toi de déposer tout ça sir le sur et de laisser faire jusqu’au printemps. Je t’invité toutefois à attendre encore un mois ou deux pour réaliser tout cela!

  26. tito raymond dit :

    je suis en Côte d’Ivoire,à propos de l’engrais,chez moi ,je cultive l’arachide,ou l’haricot vert.après la récolte,je sème d’autres légumes.Est ce ça l’engrais vert?
    Merci

    • Gilles Domenech dit :

      Bonjour Raymond,
      Non, ce sont là des cultures de legumineuses, mais pas des engrais vert. Pour qu’une plante cultivée soit un engrais vert, il ne faut pas qu’elle soit récoltée!
      En plus dans le cas de l’arachide et du haricot, les tiges et feuilles sont souvent utilisés comme fourrage en Afrique de l’ouest et il ne reste donc plus grand chose pour le sol!

  27. claudine dit :

    je suis dans le Gers, j’ai eu l’occasion de te croiser à une manifestation à Auch sur les techniues culturales simplifiées. Je démarre un potager sur une pelouse en utilisant des cartons, recouverts de paille ou de tontes de gazon. Formidable, l´herbe disparait, je suis toujours émerveillée de voir les merles déchirer mon carton pour trouver des vers de terre, preuve de la vie du sol est bien présente.´Il me reste tout de meme le chiendent, qui se plait très bien sous le carton. Ensuite un engrais vert dense de seigle vesce, et quelques coups de binette finissent par le réduire. Pour moi qui ai des problèmes articulaires, cela m’a permis de démarrer un jardin sans trop de force musculaire.

  28. Gilles Domenech dit :

    Bravo à toi, tu maîtrises déjà le jardinage sol vivant !

  29. André dit :

    Bonjour,
    je cultive un petit potager de 70m² avec un sol arilo-limoneux. je connais la battance du sol qui empêche la levée des graines. je connais les fissures dans le sol pares une période de sec. je jardine depuis 4 ans. 2 ans avec la beche. bonjour le mal de dos a retourner des pavés d’argile qui ne sont pas secs et qui se transforme en mottes incassables. 2 ans avec une moto-bineuse qui soit fait de nombreuses petites mottes (pas facile de semer dans ces conditions) soit de la cendre et la je prie le ciel qu’un orage n’éclate pas avant la levée. je suis à la recherche d’une technique qui pourrait m’aider. pour donner une aperçu de cette année 2012 de jardinage (pour info je suis situé dans le nord est du département de la Mayenne): pomme de terre: plantées en conditions très humides au 4 juin 2012 fanes coupées aux 22 juillet pour l’apparition du mildiou
    tomates: pas réussis à en planter cette année
    haricots: semés 5 fois, j’attends toujours qu’ils lèvent
    carottes: cultures abandonnées depuis 2 ans vu le résultat
    radis: si ils lèvent, ils sont pas bien gros
    oignons échalotes une réussite mais dans les mauvaises herbes impossibles à enlever car si on tire sur les herbes tout vient
    salades: ne nous plaignons pas

    voilà encore une année comme celle là et le jardin repasse en pelouse!!!!

  30. laura dit :

    Bonjour Gilles,
    Je suis en Slovenie, traductrice de profession (je voulais d’abord etre agronome:))… Et voila que depuis ma retraite, le naturel revient au galop… Je devore les livres qui parlent de permaculture, de sol vivant et de tout ce qui concerne le potager. J’ai commence par un rectangle de 60 metres carres, je l’agrandis au fur et a mesure (avec courage). Paillage de foin, plate-bande legerement surelevee, pas de bechage, mulch, etc. cette annee, la production de tomates (3 sortes) a ete fabuleuse, et les fraises succulentes et genereuses jusqu’a la fin d’octobre. Moi qui n’avais jamais eu de potager, voila que je me surprends a donner des conseils. Et je suis heureuse de partager. Je vous remercie d’ores et deja pour tous les conseils dont je pourrai profiter sur votre blog. Amities de Slovenie, ce magnifique pays vert ou j’ai decide de poser ma valise il y a 36 ans. Laura:))

    • Gilles Domenech dit :

      Tu es donc au pays de la futaie jardinée ! C’est un des pays d’Europe que j’aimerai bien visiter un jour, notamment ses forêts !
      Bravo pour tes succès au potager !

  31. Michel dit :

    Bonjour,
    Me présenter en bref: j’ai 60 ans tout juste et donc une carte Senior SNCF… J’ai habité la même maison au centre d’une grande ville(Bruxelles), avec un « petit » jardin de 15 x 7, exposé plein sud par le grand côté.
    Pendant longtemps, pour laisser jouer les enfants, j’ai tenté d’entretenir une pelouse. Lassé, j’ai demandé à une amie architecte de jardin de nous en faire un autre, sans pelouse, avec un étang, des herbes folles, des fleurs et arbustes de chez nous, et sans entretien, sauf couper quand c’est trop grand. Un coin a été réservé aux plantes aromatiques et un autre pour un petit potager. Les tomates ont très bien poussé, bien que à l’ombre d’un grand frêne, qui les protégeait de la violence de la pluie. Toutes les récoltes ont été bonnes et savoureuses.
    Tous les déchets du jardin et de la cuisine sont compostés et retournent sur la terre (méthode Jean PAIN, enseignée gratuitement à Bruxelles par le ministère de l’environnement). Pour info, l’ensemble des jardins privés qui se déclarent « bio » (pour faire court) et les parcs publics gérés de la même manière sont, tous ensemble à Bruxelles, plus grands que la plus grande réserve naturelle de Belgique.
    Il y a 4 ans , nous avons acheté une bastide avec 2.5 ha de vignes dans le Vaucluse.
    Nous projetons, lors de la rénovation des vieilles vignes, de garder 1 ha pour faire de la production maraîchère respectueuse de l’environnement pour notre table d’hôtes.
    A mon âge, on ne bêche plus et le principe du motoculteur m’effraie. On fera donc du sol vivant.
    La découverte de votre site tombe à pic et je me régale à l’idée de le lire.
    Michel

  32. Jean dit :

    Bonjour Gille et a tous les passionners de potager
    Depuis le 03 Juillet 2012 j’ai eu un potager famillial, de ma Mairie en Auvergne puys de domes 63.
    L’été s’anoncée trés chaude.
    pour mon premier potager (100m²). Une petite riviére a plus ou moins 50m.
    Une terre que je connais pas. J’ai commencé par la retournée et enlever les grosse racines et laisser le reste des herbes, a ma grande surprise aucunne galerie de
    vers ni de vers. J’ai fait quelques semie, des radis (bon resultat), des haricots (9 pieds sur 20 ont poussés), des carottes (tres peus ont pousser), des navets (qui sont rester petit ou pas pousser), des poirreaux ( a peinne sorti), des salades (mêmes pas vue la couleur), de la blettes de petit plans trouver sur le terrain (quelque feuilles pour faire la lempanate). Puis un voisins ma donné des branches de tomates (qui mon donné quelques fruits que le premiers gel ma fait récolter pour faire des beignier de tomate verte) et des betterraves platte (restée petite),des choux (que des feuilles pour la soupe), le tou sur une petit partit du potager sens vraiment avoir de bon résultat,( le reste j’ai laissé pousser l’herbe et semée de la moutarde blanche qui na poussée que partiellement. Au mois de Novembre j’ai de nouveau returner la terre en laissent les herbes et la moutarde, ouf!!! les vers sont revenus, mes petit!!!
    Puis mais connaissence ce sont affinées grasse au web, des calendriers de semies, des associations de légumes et plantes, tous de bon conseils et de passion.
    Je me voyer retournner la terre deux fois par ans, alors que ma santée ne me le permer pas.
    Et voila je tombe des nues en trouvent ton cite Jardinons Sol Vivant !
    Des experriences de jardiniers experts ou débutent qui en 3 jour mon bien decider a ne plus ne fatiguer (des restes Corse se pourt’il). Des questions oui, je me pose encore, ai je biens fai d’avoir laisser l’herbe sous la terre? qui peut’être!!! mont fait revenir les vers! car je le comprend, rien a manger dessous dessus la terre, pas de vie dessus dessous.
    Vives le printemp prochain pour une belle récolte a tous.

    Jean.

  33. Mortehan dit :

    bonjour Gille,
    félicitation pour votre site.
    je cherchais un moyen de jardiner plus écologiquement et là,je suis servi par vos articles et commentaires très interessant.ça tombe vraiment bien, je fais partie d’un nouveau groupe de travail d’un PCDN (plan communal de développement de la nature) à Aywaille non loin de Liège en Belgique,qui se met lentement en place, et nous cherchons,entr’autre, un compromis pour la manière de jardiner.
    merçi

  34. Gilles Domenech dit :

    Oui, tu as bien fait, de toute façon un bâche n’enfoui pas aussi profondément qu’un labour avec une charrue moderne tractée par un 300CV 😉 !
    Pour es encourager à revenir, tu peux aussi pailler avec du foin pendant l’hiver. Mais il te faudra de toute façon de la patience, car leur démographie est assez lente: 18 mois avant l’âge adulte, puis seulement une Douzaine d’oeuf par individu et par an !

  35. sarah-jane dit :

    bonsoir, voici un vesperal salut depuis la Bretagne où j’ai cultivé il y a 5 ans mon premier potager collectif. Il m’a donné beaucoup de travail, de plaisir et de bon légumes et fruits.
    Aujourd’hui invalidée par un grave accident, j’envisage la culture sous un autre angle. Plaisant, ce nouveau mode m’a naturellement tournée vers la récolte des semences. Moins physique vous en conviendrez tous, amis jardiniers, mais passionnant. Le compostage et l’observation de la vie dans les sols font aussi partie de mes hobbits. Je suis ici pour apprendre, échanger et… Me cultiver.
    J’ai ouvert ce groupe sur facebook dans une démarche similaire.

    https://www.facebook.com/groups/394271673965739/

    à bientôt donc

    sj

  36. eric dit :

    bonjour j’ai deux potagers en carres depuis juin 2012 j’ai semé de la salade. À l’autonne j’ai mis du brf et des feuilles de cerisier 8 cm pour moi ces mieux il se décompose et les verres travaillent on verra pour le printemps je vais apprendre sur le bloc merci à vous de Belgique Namur

  37. dany dit :

    Bonsoir Gille,

    Je suis dans l’ aude depuis 2 ans avec 30 ans d’ expérience en haute Normandie (pays de caux).
    Un peu perdu par ce climat et cette terre de vignes j’ai suivi celui qui nous a tous(association de jardiniers)convertis plus ou moins à ses principes qu’ il transmet à tous ses disciples.Jean Riviere c’ est de lui qu’il s’ agit préconise une culture sans labour recouverte de 20cm de paille ou de broyat de vignes sans arrosage ou presque..Certains d’ entre nous respectent ces principes à la lettre et d’ autres moins mais avec des fortunes diverses.
    Nous essayons de mettre notre expérience et nos cultures en commun.
    En ce qui me concerne j’ai continué ma culture en carré et ça a été un véritable échec malgré le paillage; fonctionne uniquement en culture de printemps; dès que le soleil frappe la terre se transforme en poudre : les arbres fruitiers à proximité viennent coloniser les carrés.
    Solution: déménagement en urgence des plants.
    Ceux que j’ ai laissé en place n’ ont rien donné (tomates, courgette ,aubergines .
    Cette année création d un jardin avec de la terre rapportée (talus remblayé)10 cm de fumier de cheval et broyat de vignes.
    Vivement le printemps mais la patience est la première qualité du jardinier.
    J’ ai lu vos articles avec beaucoup d’ intérêt je continuerai à vous lire et vous écrire.

    dany

  38. GOMISRen dit :

    Bonjour GILLE:
    très étonné de votre méthode de culture:surement plus efficace que celles des anciens: je me souviens que nous utilisions des immenses charrues (défonceuses 0,60cm ) pour retourner la terre nouvelle disions nous.
    A ce stade de ma lecture, je ne vois pas comment planter les pommes de terre, et comment les butter.L’explication est surement plus loin dans vos écrits.
    Comment jardiner sur une terre tassée:
    je vais donc découvrir à mon rythme les secrets de « jardiner sol vivant ».
    Bon NOËL Gille.

  39. khadija dit :

    Bonjour je sui Khadija j’ai un grand jardin a la maison mai j’ai un problème j’ai le sol trop mouiller, et j’ai semé un grain de mange et d’autre grain et après une semaine j’ai trouvé les petits insectes blanche collé aux grains, et j’ai les escargots long a très bientôt

  40. Solange dit :

    Bonjour Gille,
    Bravo pour votre site que je viens de découvrir. Je suis abonnée depuis le n°1 aux quatre saisons et à la revue de la bio dynamie.Je viens d’acheter introduction à la permaculture de Bill Molisson préfacé par les Bourguignon que j’ai écoutés en conférence.Depuis plusieurs années, je vis sur 1 ha et n’ai jamais retourné le sol. Je n’ai pas toujours de bons rendements dans mon grand jardin, je dois mieux en connaitre le sol.J’ai aussi les livres de Soltner.J’ai bien besoin aussi de vos conseils. Merci à vous.

  41. Gilles Domenech dit :

    @ Gomisren:
    Pour les pommes de terre on se dirige vers des techniques sous paillage, les résultats sont pour le moment assez variés avec encore beaucoup d’échec, ce serait une bonne idée que de lancer une enquête sur ce thème, ton commentaire m’y invite fortement 😉 ! Je mettrai ça sur pied cet hiver.

    @ Khadija:
    Difficile de te conseiller sur aussi peu d’indices. Si ce sont, comme tu le penses des acariens et des collemboles, il n’y a pas vraiment de danger pour les semences. Vois si la levée est correcte ou non.

  42. Multon dit :

    Bonjour ,

    Help ! Combien de temps pour bécher un potager de 200M2 ??

  43. GOMISRen dit :

    Bonjour Gilles:je relie ton premier message:et t’informe sur ma pratique culturale: avant de connaitre la méthode « sol vivant », j’ai enfoui un fumier de cheval trés pailleux à l’aide d’une fraise de motoculteur:(je ne commencerai plus).
    Mon terrain préparé,je compte faire des butes que je couvrirai d’un lit de ce fumier pailleux: j’essaie de me procurer des cartons,que je disposerai sur cette paille.pour l’arrosage,je disposerai une gaine percée avant la pose du carton.Il me semble que pour fumer à nouveau en cours de saison je pourrai redisposer sur ce carton humidifié devenant poreux, une autre couche de fumier plus composté.
    pour l’instant je ne dispose pas de BRF;

    Merci de renseigner sur ta prochaine conférence en Vaucluse?

  44. Marie dit :

    Très bon concept et on le comprend immédiatement avec cette appellation positive. C’est vrai que lorsqu’on bêche il est évident que tout en aérant, on détruit tout le système de vie qui s’était mis en place.

  45. […] Je précise tout de suite que je suis plutôt un adepte du non-travail du sol (même si j'ai encore un peu de mal avec ma terre argileuse). Pour comprendre les avantages d'un sol vivant, je vous recommande cet article de Gilles Domenech. […]

  46. Peat dit :

    Bonjour,
    J’ai pour ma part environ 30 ans de jardinage à mon actif , jardin personnel, plus ou moins grand.
    J’ai utilisé la méthode bêchage ( comme mon père et grand-père…) à un fer de bêche, puis, les années passant,mon dos me faisant souffrir et le temps me manquant dans un grand jardin compliqué à entretenir, j’ai, petit-à-petit  » omis » de bêcher, me contentant de biner juste pour pouvoir retirer quelques racines indésirable juste autour des trous qui recevaient mes plants … et c’est tout ! Peu de binages et d’arrosages par la suite et, à ma grande surprise, mes récoltes étaient meilleures que celles d »avant  » !
    Bien sûr, mes sélections de variétés en légumes sont plus ciblées par rapport à mon climat et ma terre, je pratique les cultures associés ( mais, parfois, juste par-rapport à mes observations) plus que les rotations, pas toujours possibles car je cultive essentiellement les solanacées et le surface est trop petite.
    Pas d’engrais autres que consoude hachée fraîche, pas de traitements anti insectes même bio et , c’est étonnant comme l’équilibre se créé naturellement !!!! Des centaines de petites araignées en réseau important au potager et les insectes indésirables ne posent JAMAIS de problème !
    Du coup, mon jardin est devenu un plaisir, mais, pas de visites possibles car c’est un champ ou fleurs sauvages où semées occupent le terrain tout autour de tous les plants de légumes. Ainsi, même avec peu d’abeilles, la pollinisation et les récoltes sont étonnantes .
    Observer est mon passe-temps préféré …. Dans ma terre, j’ai eu la surprise cet automne de trouver un ver de terre  » géant » d’au moins 35 cm ( sans tirer dessus bien sûr ) . Surprenant !
    J’adore mon jardin qui me le rend bien!!!!
    Merci pour toutes ces expériences enrichissantes.

  47. […] Je précise tout de suite que je suis plutôt un adepte du non-travail du sol (même si j'ai encore un peu de mal avec ma terre argileuse). Pour comprendre les avantages d'un sol vivant, je vous recommande cet article de Gilles Domenech. […]

  48. Guy dit :

    Bonjour Gilles, je réside en Belgique où le temps n’est pas toujours au beau fixe. Je viens d’acquérir un terrain que je vais pouvoir transformer en potager. J’aimerai travailler en permaculture afin de respecter le mieux possible la biodiversité. Le terrain dont je vous parle est recouvert d’herbe, et pour démarrer je voulais faire plusieurs petites parcelles de 120cm sur 240cm, et suivre la méthode ABCD de PotagerDurable . Malheureusement, je ne saurai démarrer cette méthode qu’au printemps car si j’attends l’automne je vais perdre une année. Que pensez vous de cette idée ??

    • Gilles Domenech dit :

      Bonsoir Guy,
      Il est tout à fait possible de commencer sans travai du sol au printemps. Je trouve que Nicolas propose une méthode encore très axée sur le travail du sol, Il n’est pas du tout indispensable que l’herbe soit totalement décomposée sous les mulch pour mettre en culture. Je vous invite à lire cet article : https://jardinonssolvivant.fr/commencez-un-potager-sol-vivant-sur-une-parcelle-enherbee-grace-a-un-simple-mulch/. Et d’ailleurs je parlait à l’époque de jusqu’à fin mars pour mettre en place les mulch, mais je me suis rendu compte depuis qu’on peut les mettre en place bien plus tard, même au mois de mai (!), quelques jours à peine avant d’implanter les cultures d’été, cela est d’autant plus intéressant qu’on est en climat frais et que le sol tarde à se réchauffer au printemps.

  49. […] de mal avec ma terre argileuse). Pour comprendre les avantages d'un sol vivant, je vous recommande cet article de Gilles Domenech. Mais ce retournement n'est à faire qu'une seule fois, à la création de la parcelle. Plus tard, […]

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