Voilà, la rediffusion de la conférence du juillet est enfin en ligne ! Ceux qui n’ont pu y assister vont pouvoir en savoir plus sur ce Maxime Vial et moi avons à dire sur les différentes espèces de couverture et sur nos projets de commercialisation de semence à l’attention des jardiniers que vous êtes 😉 !
Et j’ajoute quelques liens vers les références évoquées dans la conférence :
Début juin je vous soumettais un sondage pour connaître vos intentions en termes d’implantation de couverts végétaux pour l’automne hiver. Vous avez très nombreux à me répondre et je vous en remercie ! Si vous n’avez pas encore rempli le formulaire, vous avez jusqu’à mercredi 1er pour le faire en suivant ce lien.
Suite à ce sondage, je voulais partager directement avec vous sur les différentes espèces de couverts végétaux que je vous proposerai cet automne et vous exposerez mes projets de commercialisation de ces semences.
Je voulais vous permettre de mieux connaître les différentes plantes proposées dans le sondage, celles que vous avez choisies, bien sûr, mais aussi celles que vous connaissez moins et serez certainement intéressé à essayer ! Pour ce faire je vous propose une conférence le lundi 6 juillet 2020 à 20h30 pour laquelle j’ai invité Maxime Vial, qui sera mon fournisseur de semences et qui est spécialiste des plantes fourragères, méteil et couverts végétaux pour co-animer une conférence
Cette conférence aura lieu le 6 juillet prochain à 20h30 !
Bien sûr, comme d’habitude, la conférence sera enregistrée et mise en ligne sur ma chaîne youtube dans les jours qui suivent. Les lecteurs abonnés à ce blog seront informés direcment par mail de cette mise en ligne.
Au plaisir de vous retrouver en ligne le 6 juillet !
Il y a aussi un certain Adrien, hyper actif dans le chat de la conférence et qui nous a partagé toutes ses inventions pour gérer les limaces dans son jardin et sa serre. Vous pouvez visiter sa chaîne youtube « Le potager d’Adrien sur sol vivant » qui propose plusieurs vidéos sur ce thème (dont une série en cours de publication).
Ceux qui me lisent depuis longtemps le savent, je suis un grand adepte des couverts végétaux ou intercultures pour occuper le sol entre deux cultures, au potager cela concerne surtout la période allant de la fin de l’été au début du printemps.
J’ai consacré de nombreux articles de ce blog aux couverts végétaux et si vous ne les avez pas encore parcourus, je vous invite à le faire au plus vite car c’est là un des tout meilleurs outils d’amélioration du sol dont dispose le jardinier !
Toutefois, j’ai pu constater que vous aviez parfois des difficultés à vous fournir en certaines semences, comme par exemple le pois fourrager qui est une de mes plantes d’intercultures préférées et auquel j’avais même consacré un article. J’avais d’ailleurs fait de même d’ailleurs pour le trèfle incarnat.
J’ai donc décidé de vous proposer des semences d’intercultures à la vente pour cet automne. Pour ce faire, je vous propose de remplir ce questionnaire en ligne afin que je vous propose des semences adaptées au mieux à vos besoins.
Ce questionnaire sera en ligne pendant le mois de juin uniquement. Je vous invite donc à y répondre dès à présent !
Petite précision également : afin de pouvoir vous proposer des semences en toute légalité (car le commerce de la semence est très très réglementé), je passe par mon collègue Maxime Vial qui a tous les agréments et qui est entrepreneur dans la même CAE que moi, Pollen SCOP ! J’aurais juste à reconditionner ses semences en petits conditionnement (probablement 500g).
Au tout début du confinement, j’ai eu l’honneur d’être contacté par Murielle Lekien qui est une personne avec qui je suis en lien depuis longtemps puisqu’elle est une lectrice assidue de ce blog depuis le tout début ou presque. elle a même déjà écrit un article publié ici !
Elle m’a donc contacté fin mars cette fois pour participer au sommet des Oasis qui est un sommet en ligne qui aura lieu du 8 au 18 juin. Je m’y suis investit non seulement en temps qu’intervenant avec une conférence sur le jardinage sol vivant mais aussi en menant des interview sur un sujet qui me passionne depuis des années et qui n’est autre que les systèmes monétaires (en effet vous ne me connaissiez sans doute pas sous ce jour là). J’ai ainsi interviewé Mathieu Desponts, alias Martouf le Synthéticien sur l’histoire des systèmes monétaires les alternatives possibles au système actuel et Nicolat Briet, créateur de la monnaie locale lyonnaise, la Gonnette.
C’est avec joie que je vous contacte aujourd’hui pour vous inviter à suivre ce sommet !
Murielle m’a fait l’honneur de préparer une petite vidéo de présentation :
Et bien sûr je vous invite à suivre le lien de présentation et d’inscription au sommet, vous y trouverez une présentation des grands thèmes du sommet, la liste des intervenants, une petite vidéo de présentation tournée par Murielle dans son oasis portuguaise… et bien sûr le lien d’incription :
2020 est l’année de la trogne. Surnommée « le pétrole
des campagnes », « baril de pétrole », on comprend que son rôle
a été important jusqu’à l’arrivée des énergies fossiles, fin du 19° siècle.
Son aire géographique est mondiale ; on en trouve de partout ; et à toutes les époques : des trognes fossilisées de plus de 3000 ans ont été découvertes en Angleterre.
Parfois nommée arbre têtard, son aspect se retrouve dans le
mot « trogne », pour un visage épanoui, buriné, aux traits saillants.
C’est dire sa popularité. Popularité bien affaiblie jusqu’à la fin des années
90, jusqu’à son retour en grâce la faveur à la fois de la crise énergétique et
climatique et la popularité du BRF et des plaquettes de chauffage.
Vieux murier blanc en cours de trognage.
« Insecte » vous regardant
II DEFINITION
LA TROGNE :
c’est un feuillu qui est
conduit à mi hauteur, afin d’obtenir, par des coupes régulières de la biomasse : feuilles,
bois ; sans couper le tronc. On parle de taillis suspendus.
Le spécialiste :
D Mansion. Son expérience est reconnue au niveau européen. Et ses aquarelles de
trognes sont magnifiques.
La trogne, un art ?
Nous verrons plus loin que l’art
s’est emparé de ce thème depuis longtemps.
Mais trogner un arbre s’apparente à
de la sculpture ! On ressent une grande satisfaction à observer l’arbre,
imaginer comment il doit être « sculpté » ; il faut continuellement
combiner les opérations pour arriver à concilier impératifs biologiques, beauté
des coupes et efficacité du geste. Tout cela dans la plus grande sécurité.
Ensuite en prenant du recul, on
peut observer le résultat qui n’est jamais répétitif : il y a bien une
créativité issue de l’operateur mais aussi de l’arbre !!! Voir ci-dessus
« l’insecte vous regardant » !
III EXEMPLE DE CREATION D’UNE TROGNE
Créaton d’une trogne à partir d’un baliveau, illustration issue de Mansion, D. « La trogne, l’arbre au mille usages », Ouest France 2014
IV HISTORIQUE DE LA TROGNE
Les premiers à avoir créé des trognes sont les animaux : castor,
chevreuil cerfs etc. Les tempêtes, la foudre, la neige sont aussi à l’origine
de trognes. L’homme, en observant la nature, en a saisi l’intérêt.
Des preuves de trognes remontent à – 3400 ans en Grande-Bretagne.
Des trognes vivantes de 1000 ans et plus, sont présentes en
Angleterre, en France en Grèce etc.
Age d’or : jusqu’en 1960. L’arbre têtard, a des
vocations multiples : « arbre fourrage », fagots pour le boulanger et
le chauffage, bois d’œuvre pour les charpentiers, bois d’œuvre pour la marine…
Jusqu’au XIXe siècle, il est un élément essentiel de l’économie
d’autosubsistance des campagnes européennes.
L’arbre têtard sert aussi de repères culturels et cultuels :
lieu de rencontre religieuse, de rencontres festives, jeux d’enfants, mythes
etc. sans oublier le rôle de bornes de limites entre les différentes parcelles.
Des arbres têtards véritables ou factices ont servi de
postes d’observation pendant la guerre 14-18 dans les tranchées !
Le remembrement des années 60, la fin de la sériciculture (ver
à soie), ainsi que la mécanisation de l’agriculture, les font quasi disparaitre.
V LA TROGNE EN PRATIQUE
–LA TAILLE : attention
DANGER
La coupe à hauteur des yeux ou en hauteur est dangereuse !
Choisir le bon outil, et le bon échafaudage !!!
Quand ? :
Automne, hiver ET printemps-été
(fourrage, vers à soie).
Donc, selon les lieux, les besoins, les essences d’arbres,
la trogne peut se conduire à tout moment dans l’année.
Pour ma part, j’ai testé des trognes de frêne en avril, mai,
juin, juillet, août, septembre etc.
Les repousses ont été dynamiques dans tous les cas.
Périodicité :
1 an 2 ans : fourrage et ensilage, vannerie,
boutures
3
à 5 ans : fourrage, piquets, buches moyennes
5
à 15-20 ans : bois d’œuvre, chauffage
ATTENTION : jeunes sujets = taille plus fréquente.
Cas des vieilles
trognes : attention aux chênes : tailler progressivement, sur
x années + tire sève conservé.
Avec les années, les trognes se creusent : l’arbre est
le seul être vivant à mourir de l’intérieur.
Les effets de la
trogne :
Bourrelet de recouvrement qui se
forme.
Bourgeonsdormants qui se réveillent et des racines nouvelles apparaissent.
Radicelles plus nombreuses.
Augmente la longévité de l’arbre : il devient plus résistant
aux maladies : maladies des ormeaux,
des frênes par exemple.
LES ETAPES D’UNE TAILLE EN TROGNE
1° : le contexte : murier blanc âgé de 100 ans environ, abandonné pendant 15 ans. Sans trognage, il risque de mourir par effondrement sous le poids de la neige par exemple. Saison : hiver 2017.
2°: la taille : attention danger !!! Les travaux sur échelle sont dangereux, à éviter et interdits par le code du travail ! J’ai acheté depuis une tronçonneuse sur perche, moins dangereuse. A noter : coupes franches, inclinées pour éviter la stagnation de l’eau de pluie. Ne pas couvrir de mastic = nid à parasites. En zone très chaude on peut protéger la coupe le premier été, par une motte de terre, qui disparaitra naturellement à l’automne.
3 : la taille est finie. Noter la coupe d’une partie du tronc qui avait été endommagée. Les branches sont : coupées en buches pour les plus grosses, les autres sont recyclées sur place au pied du talus à droite de la photo, sous forme de haie sèche, afin de le protéger contre l’érosion provoquée par le passage du troupeau de moutons.
4° : le même arbre à la fin du printemps suivant, en 2018. Noter la vigueur des rejets ! L’ancêtre est sauvé. Il sera taillé à nouveau durant l’hiver 2021 ou 2022. Cette fois le bois de taille sera transformé en BRF. Mes grands parents, sériciculteurs, (élevage du ver à soie), cueillaient les feuilles à cette époque de l’année. Et le murier était trogné en fin d’été, tous les 2 ans, tous les ans s’il était vigoureux. Ils confectionnaient des fagots avec ces jeunes branches. Astuce : ils trognaient un arbre sur deux ou ½ murier par moitié, pour avoir de la production toujours disponible.
VI LA TROGNE AUJOURD’HUI.
-UNE RENAISSANCE ?
2006 : la relance :
1° colloque européen de la trogne
Création de l’AFAF (Association Française Agroforesterie) en
France : en 2007.
Aujourd’hui, de nombreuses formations prodiguées sur tout le
territoire, laissent à penser que sa survie et son développement sont assurés.
Il en est de même en Europe. (Congrès de la trogne au Portugal, en Angleterre…)
-LES NOUVEAUX ENJEUX
DE LA TROGNE DANS L’AGROECOLOGIE
-les données à connaitre :
-AGROECOLOGIE :
Approche large :
c’est « l’écologie des systèmes alimentaires »... (FRANCIS)
Approche concrète :
on cultive AVEC le sol (et
son environnement : haies, arbres…) vs sol SUPPORT de l’agriculture conventionnelle.
Le sol est un mileuVIVANT.
Donc, le sol respire et mange : de la matière organique.
La trogne va la lui en fournir de manière illimitée, sans
transport et quasi gratuitement.
-L’AGROFORESTERIE :
L’agroforesterie désigne les pratiques, nouvelles ou historiques, associant
arbres, cultures et/ou animaux sur une même parcelle agricole, en bordure ou en
plein champ. (AFAF).
-Gérer l’arbre,
donc la trogne, dans un contexte d’agroforesterie :
Un sol vivant intéresse tous les types d’agriculture :
jardin, maraîchage, céréales, fruitiers, vignes, élevages, grandes
cultures … La trogne est une source majeure de matière organique proche.
La nourriture primordiale du sol vivant est le BRF : Bois Raméal Fragmenté.
Ce sont des rameaux et des branches qui sont broyés. La
trogne est ainsi une source indéfiniment renouvelable de BRF !
Le BRF au sol, devient le siège d’une intense vie
biologique, source d’azote pour le sol.
L’arbre têtard peut aussi structurer les haies. Dans ce cas le BRF proviendra à la fois de la haie et des arbres. (Voir mon prochain article sur les haies).
La trogne peut aussi être implantée en plein champ : agroforesterie intra-parcellaire.
Là aussi le BRF sera disponible sur place.
Tout le monde se souvient des pêchers de vigne !
L’agroforesterie nécessite quelques précautions : bien gérer
l’enracinement, anticiper les largeurs des machines, choisir une densité et les
espèces d’arbres adaptées…
Le lundi 25 mai prochain, à 20h15, je vous propose une nouvelle conférence en ligne pour laquelle j’ai l’honneur d’inviter Guylaine Goulfier, auteure de 14 ouvrages dont Révolution au potager, Guide de survie joyeuse, ou encore Je cultive, je cuisine, je conserve.
La rediffusion de cette conférence est diponible ici.
Cette conférence aura pour titre « Mal aimé, je suis le mal aimé » avec un focus sur deux d’entre eux : – la reine des mal-aimé au jardin, j’ai nomé bien sûr la limace, concernant laquelle vous avez toujours plein de questions ; – Et un champignon parasite bien connu des jardiniers : l’oïdium.
Après cette conférence peut-être pourras tu changer de regard sur un de ces mal aimés du jardin, découvrir quelle place il occupe dans l’écosystème.
Voici un petit résumé de ce que vous trouverez dans cette conférence :
1) La limace, un précieux auxiliaire (l’alimentation des gastéropodes est quasi totalement centrée sur les champignons) – ceux de la décomposition : ce sont des éboueurs – les champignons pathogènes : ce sont des régulateurs de maladies – les champignons du sol : ce sont des cupidons du sol, des ensemenceurs.
2) Oui mais, la limace a un vilain défaut Elle manque d’une enzyme qu’elle trouve dans les jeunes tissus végétaux. D’où ses dégâts dans le jardin.
3) Vivre avec les limaces, ok mais comment ? – Relativiser – Protéger (les barrières ne fonctionnent pas durablement, des granulés bio et non toxiques pour la faune) – Les nourrir
4) Au s’cour : des taches blanches sur mes concombres ! – Qu’est -ce que c’est ? (de l’importance du diagnostic) – Qu’est-ce qu’on fait (1 traitement naturel et 1 alternatif) – Et si l’on ne faisait rien ? L’oïdium est ce que c’est grave ? 2 points importants : le seuil de tolérance, le rôle de l’oïdium dans l’écosystème.
Cela vous tente ? Alors rendez vous le 25 mai !
La rediffusion de cette conférence est diponible ici.
Christophe Gatineau nous a lancé courant avril un ebook gratuit et préfacé par Xavier Mathias. Pour ce faire ils ont repris un thème déjà évoqué dans ce blog : les buttes et la permaculture.
Je ne présente plus Christophe qui a publié maintes fois sur ce blog et qui est l’auteur de nombreux ouvrage, en particulier les deux derniers sur deux groupes d’organismes essentiels au fonctionnement de nos écosystèmes : les vers de terre et les abeilles, cf. ci-dessous.
En ce printemps 2020 aux circonstances bien particulière dues d’une part à la crise sanitaire que nous traversons mais aussi, même si l’on en parle peu à la terrible sécheresse que nous traversons en ce début de printemps, je voudrais revenir sur l’implantation des cultures et en particulier sur la production de plants en vue d’un repiquage au jardin.
Certains cultures nécessite systématiquement un repiquage, c’est notamment le cas des plantes tropicales comme les tomates, aubergines… ainsi que pour certaines plantes tempérées au développement lent au début de leur cycle (choux, salades, poireaux…), Pour d’autres cette opération est facultatives (courges, courgettes, épinards, haricots, betteraves…). Certaines plantes sont réputés n’être implantables que par semis (carottes, radis…), quoique…
Je me souviens que lors de ma visite du jardin des Fraternités Ouvrière de Mouscron, il nous avait été dit qu’ils produisaient toutes les cultures en plants à part les carottes et les panais mais que même ces deux dernières cultures allaient peut être suivre le même protocoles que les autres. C’était en 2014, je ne sais pas où ils sont à présent.
D’une façon générale, lorsque que l’on cultive sous mulch et sans travail du sol, les repiquages sont souvent plus faciles à gérer que les semis, bien que ceux-ci, même pour les petites graines, soient faisable à travers un mulch (voir par exemple ma conférence en ligne de mai 2018).
Dans la conférence du 8 avril 2020, Pierre 1911 nous indiquait implanter la quasi-totalité de ses cultures en le repiquant après avoir élevé les plants hors sol (godets, pépinières…).
En plus vu la météo de ce début de printemps 2020 où le maintient d’une humidité suffisante pour la levée des semis et leur survie post-semis est problématique, élever des plants est une solution incontournable cette année. Personnellement, mis à part un semis de petits pois qui sort enfin après moult arrosage, je n’ai rien implanté en pleine terre.
De nombreuses techniques sont envisageables pour élever des plants avant leur repiquage : caissettes, mini-mottes, godets… Je vous invite à me dire dans les commentaires ci-dessous quelles sont vos méthodes préférées pour produire des plants ! N’hésitez pas à nous indiquer quel matériel, terreaux… vous utilisez, pour quelles plantes vous produisez des plants et pour lesquelles vous préférez un semis en pleine terre, et tout ce qui vous passe par la tête sur ce sujet ;-).
Dépose de BREF de laurier du Caucase dans mon nouveau jardin en Haute Loire.
Suite aux nombreuses question que j’ai eu sur la première implantation d’un jardin et qui m’ont amené à choisir ce thème pour la conférence en ligne du 2 avril dernier, j’ai décidé de vous proposer un accompagnement en ligne en petit groupe (une dizaine de personnes maximum).
L’idée est de vous accompagner avec plusieurs sessions en ligne pendant toute la saison de culture avec des visioconférence rassemblant l’ensemble des membre du groupe afin de partager sur l’avancer de l’implantation de votre jardin, sur vos échecs, sur vos succès. Bien sûr, je serai là pour vous répondre à vos questions lors de ces séances et serait aussi disponible par email entre les séances, bien entendu, je traiterai en priorité les demande émanant de membre de ce programme.